Le loup en france

c'est pareil pour la charcuterie Corse, on ne voit pas d'élevages de cochons mais bon elle est bonne

Dédé 13 a écrit:

Mais mon fromage corse à moi c'est le berger qui l'a vendu à la personne qui me l'a rapporté. 

Mais mon pauvre André, ton berger, hors saison, il vit dans le 93 ! C'est un saisonnier, intermittent du spectacle, embauché l'été par le Conseil Régional de Hte Corse grâce à ce qu'il reste des subventions européennes après le prélèvement obligatoire des indépendantistes ! Quant au fromage, moulé à la louche par un Chinois, roulé sous les aisselles d'une nonne aveugle du Burkina Faso, puis importé par les membres bienfaiteurs de la Brise de Mer entre deux packs de cocaïne lors d'une trève des grévistes à temps plein des Corsica Ferries, les analyses ont prouvé qu'il était fait au lait de Chamelle... et que c'est Al-Qaïda qui touche les subventions de la PAC !

Faut revenir sur terre, et vivre avec son époque !  

  

Mais où va t il chercher tout ça ?  

Christophe !!!! Christophe !! tu fumes trop;)

il faut reconnaitre qu il doit fumer de la bonne !!!!!!!!!!  

  

Toujours avec la formule au top notre aubois !  

Et c'est parti !

AFP a écrit:

Nice - Des chasseurs des Alpes-Maritimes venaient d'être autorisés à tuer des loups à l'occasion de battues aux gibiers: cette liberté inédite a été suspendue net vendredi par un juge des référés de Nice, à la grande satisfaction des associations de défense des animaux sauvages.

«Victoire pour le loup!,» a immédiatement réagi un collectif des principales associations écologistes, qui dénonçait des pratiques d'un autre temps.

«L'autorisation de battues pour une espèce protégée au niveau européen constitue un recul inacceptable en matière de protection de la nature», ont-ils souligné, en déplorant que l'Etat ait pu donner «carte blanche à des chasseurs» sans aucun encadrement officiel.

Face à la difficulté de réduire la population de loups dans le département de France le plus touché par des attaques de troupeaux, la préfecture des Alpes-Maritimes avait autorisé pour la première fois à la mi-septembre les chasseurs à tirer sur des loups lors de battues aux grands gibiers, dans sept zones de chasse précises.

Dans ce cadre, des chasseurs ont tué un loup et une louve, au grand dam de trois associations écologistes qui ont immédiatement saisi le tribunal administratif de Nice.

Un jugé des référés leur a donné raison vendredi, en estimant qu'il y avait effectivement «urgence» à «suspendre» des arrêtés préfectoraux présentant «un doute sérieux» de légalité.

Il s'est appuyé sur un arrêté gouvernemental stipulant que les opérations de «tirs de prélèvements» de loups se faisaient sous la supervision de fonctionnaires de l'Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS), éventuellement avec l'aide de chasseurs bénévoles formés par cette organisation.

Le juge avait écouté mercredi pendant deux heures les avocats des trois associations et de la préfecture.

Le conseil de la préfecture, David Barjon, avait argué que l'ONCFS exerçait un contrôle avant et après ces battues de chasseurs.

«L'équipement de protection des troupeaux (enclos, chiens) coûte 1,2 million d'euros par an au département. S'y ajoutent près de 800.000 euros d'indemnisation des éleveurs», a-t-il souligné, en rappelant que le département «concentre 40% des attaques au niveau national» (664 en 2012).

«Le loup s'est adapté, il a progressivement contourné les dispositifs de défense», a insisté l'avocat de la préfecture. Ainsi, les cinq «patous» d'un éleveur du village de Villeneuve-d'Entraunes ont été récemment attaqués, provoquant la mort de deux de ces chiens de protection.

«La totalité du quota français peut-il être tué dans les Alpes-Maritimes?», a interrogé le juge.

Dans ce département, les chasseurs étaient autorisés à tuer un nombre illimité de loups lors d'une partie de chasse.

Le gouvernement a plafonné «les prélèvements» de loups à 24 cette année, représentant environ 10% de leur population estimée dans les massifs français.

«Seuls quatorze loups ont été tués dans le département en neuf ans, dont quatre durant l'été», avait précisé Louis Bernard, responsable de l'ONCFS pour les Alpes-Maritimes.

'No man's land'

«Une battue peut être organisées à partir de deux chasseurs. On est dans un no man's land ! Tous les chasseurs de France voudraient tuer un loup», avait rétorqué Me Benoît Candon, représentant l'Association pour la protection des animaux sauvages (Aspas) à l'origine de la requête, ainsi que Ferus (association de protection du loup, du lynx et de l'ours).

L'avocat s'était dit «excédé que l'Etat considère que les montagnes sont l'attribut des éleveurs», alors que «les randonneurs aimeraient rencontrer des loups».

Son confrère Mathieu Victoria, qui défendait l'association France Nature Environnement, s'est montré satisfait vendredi d'une décision allant dans le sens «d'une présence pérenne du loup dans nos territoires».

Fort de cette victoire, Me Candon vient de déposer des requêtes contre d'autres arrêtés permettant aux chasseurs d'abattre des loups dans les Alpes-de-Haute-Provence et la Drôme.

Dans une première réaction, la chambre d'agriculture des Alpes-Maritimes a demandé à l'Etat «de remettre en cause cette décision». «Les éleveurs du département vont réagir très rapidement avec des actions sévères», a-t-elle prévenu.

Le président UMP du Conseil général des Alpes-Maritimes Eric Ciotti et un élu de la commune de montagne Péone-Valberg, Charles-Ange Ginésy, ont dénoncé vendredi soir «une forme d'intégrisme environnementaliste» qui met en danger le pastoralisme de montagne «déjà fragile».

© 2013 AFP

La-men-ta-ble !

Seule solution: Attacher une belle mère à un piquet, dans la montagne. Quand elle se sera fait dévorer, les choses changeront peut être.

J'ai essayé avec la mienne, c'est les loups qui se sont bouffés entre eux.  

Débile cette décision en référé . Pour une fois que le loup pouvait être chassé par les locaux (même tres peu) ,ça avait l 'avantage de calmer les esprits tant chez les chasseurs que les éleveurs ,maintenant ,la situation va se tendre à nouveau .Laissons la pourrir jusqu 'à ce que ça explose ,c 'est finalement peut-être la seule solution .

Les avocats de ces bobos écolos ont le "chic" pour les phrases "choc "   :

Citation :

Tous les chasseurs de France voudraient tuer un loup», avait rétorqué Me Benoît Candon,

Citation :

L'avocat s'était dit «excédé que l'Etat considère que les montagnes sont l'attribut des éleveurs», alors que «les randonneurs aimeraient rencontrer des loups».

Labrador27 a écrit:

Seule solution: Attacher une belle mère à un piquet, dans la montagne. Quand elle se sera fait dévorer, les choses changeront peut être.

La mienne, elle boufferait les Loups...  Encore des ennuis pour la Fédé !  

Je suis un peu déçu: Personne, sur ce forum, ne se propose pour fournir l'appât qui permettrait de vérifier ma théorie.  

Une belle-mère écolo zoolâtre ce serait bien.  

koba a écrit:

Il n'échappe à rien du tout, on est sur un régime dérogatoire qui risque fort de nous coûter un max...
Le terme "régulation" est par ailleurs employé pour parler du tir des pseudo-nuisibles et de la soumission des Chasseurs aux errances économico-financières des paysans dont, je vous le rappelle, l'âme est aussi basse que la terre qu'ils travaillent... 

Pour ceux que ça intéresse, et qui savent lire :

http://www.loup.developpement-durable.gouv.fr/IMG/pdf/130830_PLAN_LOUP_2013-2.pdf

Et je viens de lire ça aussi, dans la RNC d'octobre:

     

RNC a écrit:

L'article 9 de la convention de Berne stipule que "à condition qu'il n'existe pas une autre solution satisfaisante et que la dérogation ne nuise pas à la survie de la population concernée, chaque partie contractante peut déroger aux dispositions des articles 4,5,6,7," lesquelles énumèrent les conditions de préservation des espèces placées sous protection auxquelles le loup appartient. La partie contractante, en l'occurrence le pays concerné, peut donc réguler une espèce protégée à condition de ne pas utiliser de moyens interdits dans l'annexe 4 de la dite convention. Or, en consultant cette annexe, on peut constater que la chasse n'y figure pas. Le choix des moyens fixés aujourd'hui par la France est donc totalement dépendant de la volonté de l'état.

C'est en totale cohérence avec ce qui est écrit page 33 du doc dont tu nous donnes le lien d'accès.

Des loups Findus maintenant!

http://www.nicematin.com/vallees/un-troupeau-de-chevaux-attaque-par-le-loup-a-auron.1488261.html

Et tout ça sur un domaine skiable ,à quand un skieur bouffé par un loup ? Ca ferait peut-être réagir si les vacances d 'hiver voyaient le nombre de pratiquants chuter par peur du loup ...

Tu parles Charles... Viens faire un tour en haut des cols des Alpes du sud en été, vers minuit de préférence. Ils sont tous là pour écouter les hurlements provoqués par les gardes ONCFS et parcs nationaux.
Le frisson ils aiment ça les bobos.

Dédé 13 a écrit:

Des loups Findus maintenant!

http://www.nicematin.com/vallees/un-troupeau-de-chevaux-attaque-par-le-loup-a-auron.1488261.html

pauvres loups , ils ont été trompés , on leur avait dit que cétait des vaches !!!!!!!!!!  

Des loups belges peut être... 

Si les loups commencent a toucher des chevaux d'écolo ça pourrait peut-être les interpeller.
A quand" les loups dans Paris" comme dit la chanson , c'est peut-être proche car a chaque nouvelle meute de jeunes un nouveau territoire et l'espace diminue ???

eh bien voilà ???
http://www.noschasses.fr/content/un-loup-dans-lyonne

je ne sorts plus le soir ...