un peu de froid on va fermer

C 'est vraiment minable que tu ne puisses exprimer une opinion sans ensuite que des abrutis te le reprochent ....

Je pense que tout vient plus ou moins du même endoit, il y a 2 ans dèjà plusieurs lettres anonymes me concernant ( pour les appelants) ont étés envoyés à la préfécture, aux impôts et à la PAF.
Descente à la maison controle de l'élevage, des dons , des ventes, des factures, pas de suite tout légal.

Les joies des mecs qui savent pas la fermer ... moi j ai retrouvé un parpaing a la place de mon pare brise et des pneus plat !

Y a vraiment des mecs tres courageux !

Si ca peut interresser...

Impact du froid actuel sur les populations de bécasses et d’anatidés

Communiqué n°4 du 12 janvier 2010


La France connaît depuis début janvier un épisode particulièrement hivernal marqué par un gel persistant sur une majorité du pays, les chutes de neige répétées et importantes ont de surcroît accentué un peu partout la rigueur des températures négatives. Le redoux doit gagner peu à peu l’ensemble des régions mais à l’évidence il mettra du temps à s’imposer dans le Nord et l’Est de la France.


Anatidés

Suivi des sites de référence «Vague de froid »
Les comptages réalisés sur les 60 sites nationaux de référence ont eu lieu entre le 9 et le 11 janvier. Ils permettent de constater des arrivées de canards sur l’ensemble du littoral Manche-Atlantique au cours du dernier week-end, les oiseaux étant sans doute « poussés » par le froid sévissant notamment en Grande-Bretagne. Ces arrivées sont toutefois sans commune mesure avec celles constatées lors des précédentes vagues de froid et l’augmentation des effectifs enregistrée sur certains sites de référence n’est pas spectaculaire. Les espèces indicatrices de vague de froid restent globalement peu signalées.
Dans les départements où l’on constate la persistance du gel depuis le 1er janvier et le maintien d'une couverture neigeuse abondante, les anatidés aussi bien herbivores que granivores ont beaucoup de difficultés à accéder à leurs sites préférentiels d’alimentation.
Depuis le 9 janvier, les départements du littoral méditerranéen et du sud-ouest sont directement touchés par cette vague de froid avec des températures négatives ou proches de zéro encore aujourd’hui.

Suivi des réserves énergétiques des anatidés et foulques
D’après le suivi sur l’état physiologique des canards coordonné par Mathieu BOOS (Bureau d’Etudes Naturaconst@) en relation avec la Fédération Nationale des Chasseurs de la Loire, « Les populations parviennent à équilibrer efficacement leur balance énergétique malgré la persistance du froid. ». Sans capacités de s’alimenter les prochains jours, « les capacités de jeûne total réversible au froid seraient en moyenne de 5 ± 1 jour (extrêmes : 4 -9 jours) pour les sarcelles et de 7 ± 1 (extrêmes : 4 - 12 jours) pour les colverts. ». Ce diagnostic est assez différent dans le département du Nord où un effet de la vague de froid sur l’état physiologique des Canards siffleurs avait été mis en évidence dès le début de la semaine du 4 janvier « la situation ne s'est globalement que faiblement dégradée entre le début et la fin de semaine ».


Bécasse des bois

Les comptages ont été poursuivis conformément au protocole les 8 et 11 janvier dans près de 25 départements à la fois sur les sites littoraux et sur les sites intérieurs. Ces derniers étaient pour majorité soit pris par le gel soit recouverts de neige et donc défavorables pour le gagnage. La situation reste très critique pour les oiseaux des régions Nord - Pas-de-Calais - Picardie, Basse et Haute-Normandie qui, comme pour les régions de l’Est et du Centre de la France, ont subi près de 12 jours consécutifs de froid avec gel persistant et nombreuses chutes de neige : outre les concentrations sur la frange littorale on note ici et là des comportements anormaux et la fréquentation de sites inhabituels pour l’espèce. Les effectifs de bécasses ont progressé sensiblement dans les régions Bretagne, Pays de Loire, Poitou-Charentes (Charente-Maritime), et depuis le week-end du 9-10 janvier en Aquitaine : les observations sur les sites côtiers montrent cette progression même si pour ces régions les densités ont globalement augmenté dans les départements eux-mêmes. La frange méditerranéenne a vu aussi ses effectifs augmenter localement avec l’arrivée de nombreuses bécasses.
Rappelons que les conditions météo de cette première décade de janvier ont eu comme conséquence pour les limicoles, dont la bécasse et les bécassines, ainsi que pour les turdidés et alaudidés, de voir leurs possibilités de se nourrir considérablement réduites, sinon annulées, là où le gel a été puissant et prolongé, et en raison de l’épais manteau neigeux.


Recommandations, évolution possible de la situation

Dans le cadre du protocole national « vague de froid », l’attention doit être portée sur la fin de celle-ci avec le début de la période de redoux. En effet cette période s’avère être particulièrement sensible pour les oiseaux.

Pour les Limicoles , les Turdidés et les Alaudidés 

Même si les conditions climatiques doivent changer en milieu de semaine avec l’arrivée d’un redoux relatif, il apparaît opportun de prolonger ou de mettre en place une suspension de la chasse de toutes les espèces dans les départements touchés par le gel et la neige où il y a eu des mouvements des hivernants vers les zones de repli (départements littoraux). Même si dans quelques uns de ces départements, certaines ressources alimentaires sont restés disponibles et ont pu permettre aux oiseaux de continuer à se nourrir au moins partiellement, la suspension de la chasse en fin d’épisode de froid et en début de phase de redoux est primordiale car elle correspond à la re-dispersion des oiseaux sur leurs zones d’alimentation habituelles lorsqu’elles redeviendront disponibles. Par ailleurs, les départements littoraux non touchés par le gel et la neige mais ayant servi de zones refuge et d’accueil, notamment pour les limicoles dont bécasse et bécassines ainsi que pour les turdidés et les alaudidés, devraient également maintenir une suspension de la chasse jusqu’à la redispersion des oiseaux qui s’opère dans un délai de 5 jours à 10 jours à compter de l’amorce du redoux succédant à la vague de froid.

Pour les Anatidés

La fin de cet épisode de froid étant située entre le mercredi 13 et le samedi 16 janvier, selon la localisation géographique des départements, la redispersion des anatidés se fera probablement dans les 5 jours suivants, laps de temps nécessaire pour accéder à nouveau aux zones alimentaires habituelles (disparition de la couverture neigeuse et dégel des prairies, prés salés vasières, étangs, marais). Durant cette phase, les oiseaux devraient pouvoir accéder sans dérangement à ces zones. Au cours des 5 jours suivant cette redistribution, la principale activité des anatidés sera une alimentation diurne pour reconstituer leurs réserves énergétiques. Ainsi, une période de 10 jours à compter de la fin de la vague de froid sera probablement nécessaire pour retrouver une situation normale (distribution des oiseaux et état général).


Le protocole « vague de froid » demeure en en application :

Pour les Anatidés, les comptages sont à prévoir au moins jusqu’au 22 janvier prochain au même rythme que précédemment (début et fin de semaine).
Pour la Bécasse, les sorties du jeudi 14 et du lundi 18 janvier sont maintenues dans le cadre du protocole sur les sites de référence.


Carol FOUQUE, Vincent SCHRICKE, & François GOSSMANN, le 12/01/2010
ONCFS-DER/CNERA Avifaune migratrice
Cellule nationale « Vague de froid »

Au moins ,maintenant ,c 'est clair ! Merci Milouin pour cette info !

J'ai rendez- vous avec le responsable et avec le vendeur de l'enseigne de distribution afin de discuter de la situation.

Pas envie d'emmer... les gars, je veut seulement que l'on arrête de me les casser

http://www.midilibre.com/articles/2010/02/07/PANIER-Les-becassiers-tirent-la-sonnette-d-39-alarme-1102047.php5

Lu dans le midi-libre ce jour.

Fallait s 'attendre à de telles réactions .Reste à savoir les résultats des comptages effectués en Russie dans les mois à venir pour avoir une vision globale de la situation ! J 'espère que les excés de certains n 'auront pas été si graves ....

"En une ou deux périodes comme celle-là, on peut éteindre l'espèce."sa fait peur quand on lit sa je pense que c'est un peu exageré mais bon c'est vrai qu'il y a eu des abus

Tout a fait d'accord.Il faut pas oublier que sans cet afflux dans certaines regions de toute façon des becasses auraient été tuées dans leur zone de migration naturelle.Quand ils lisent ce genre d'article,les écolos se regalent et vont en profiter pour demander la reduction des periodes de chasse.

On se fait du tort nous même encore avec des papiers comme sa Pour changer ...

phil83 a écrit:

Tout a fait d'accord.Il faut pas oublier que sans cet afflux dans certaines regions de toute façon des becasses auraient été tuées dans leur zone de migration naturelle.Quand ils lisent ce genre d'article,les écolos se regalent et vont en profiter pour demander la reduction des periodes de chasse.

Pas sur ça, tout dépend où se trouve cette région, on ne chasse pas la bécasse dans tous les pays, surtout au sud. De plus, les grosses concentrations facilitent les prélèvements et n'incitent pas à la modération pour beaucoup de chasseurs.
Cela dit, je ne pense pas qu'une ou même deux saisons comme celle-là mettent en péril l'espèce sachant que durant les dernières années avec des hivers plutôt cléments n'incitant pas à la grosse migration, certains disaient que l'espèce était au plus bas, un hiver digne de ce non et il en sort de partout.

Exact ! En plus ,beaucoup trop tôt pour tirer des conclusions .

[quote]

phil83 a écrit:

Tout a fait d'accord.Il faut pas oublier que sans cet afflux dans certaines regions de toute façon des becasses auraient été tuées dans leur zone de migration naturelle.

Tout dépend où elles étaient énormément de secteurs ne sont pas chassés ( réserves, forêts où il y a des battues au gros...).
Cela dépend aussi du tènement où elles se sont réfugiés, si c'est des milieux semblables à ceux quelles fréquentent en temps normal elles ont pût retrouver leurs marques. Si c'est de la plaine (fossés, haies...) ou des bords d'étangs, il n'a pas dût en repartir beaucoup.

Il faut aussi prendre en compte les études des scientifiques (souvent pointures mondiales en matière de bécasses) sur le sujet.
Il en ressort que du fait de leur mode de nourrissage les femelles sont les premières à souffrir du froid, d'autre part même si les oiseaux nés en différent endroit ont tendance à se mélanger il est prouvé que' une grande majorité de bécasses présentes chez nous sont issues de la population qui niche en centre Europe.

Enfin dans tout les cas c'est trop tard, l'avenir nous dira ce qu'il en est des populations

En effet, je pense que les propos sont alarmistes volontairement.Cependant, et je rejoins l'avocat, selon les lieux de ces concentrations les prélèvements ont été excessifs surtout sur les ténements ou les oiseaux ont moins de défense.De toute façon ces regroupements provoquent des prélèvements bien plus importants que lorsque les oiseaux sont répartis sur l'ensemble du territoire.
Le vrai problème réside dans la mise en place du plan grand froid en temps utile et de façon mieux repartie géographiquement.

Effectivement, la vague de froid a deplacé les populations de bécasses dans le bitérrois.
En sortant les chiens j'ai été surpris de lever des bécasses dans des tènements inabituels (bordures de vignes, petites garrigues et meme en bordures de plage a Vendres) bien sur ces bécasses non plus de défenses et sont affaiblies.
Mais la ou je me met trés en colère. c'est que certains chasseurs (enfin ils n'ont que le titres ) Se sont ventés d'avoir fait de vrai massacres (5 a 6 bécasses par jour ).
Il est temp d'éliminer ce type de personne de notre activité preférée au risque de voir les escrolos nous mettre dans le meme sac.

PS Autre chose a Beziers le tribunal a comdanné un soit disant chasseur....qui avait abandoné ses deux chiens attachés a un arbre (un a mangé l'autre pour survivre) a trois mois avec sursis. Il vaut mieux pas que j'y tombe dessus a celui la.

Il faudrait commençer par imposer un carnet de prelevement avec limitations journalieres et annuelles(voir mensuelles) sur tout le territoire.
Quand au fumier qui a attaché ses chiens,3 mois avec sursis c'est pas assez.Il devrait avoir une interdiction de posseder des animaux.

Je rejoins Phil : le gars qui maltraite ainsi ses chiens devrait être interdit d 'en posséder un à vie ,plus une tres grosse amende !

y a qu'à l'attacher lui aussi!!!!

Phil 83 a dit:

Citation :

Il faudrait commençer par imposer un carnet de prelevement avec limitations journalieres et annuelles(voir mensuelles) sur tout le territoire

,le PMA sans contrôles manque d'efficacité, mais c'est un bon début, surtout avec des règles similaires à l'échelon national.

Je crois que ce projet est à l 'étude à la FNC ,et même si retoqué une première fois ,il ne semble pas définitivement enterré !

Si votre oiseau adoré est vraiment si fragile ... le pma peut etre salvateur ... mais un Pma Annuel ... Je prend mon exemple , redevenu sauvaginier après 3 mois d'errance Becassiere , si je tombe dedans comme celà m est arrivé par hasard l'an passé avec beaucoup de levées sur 2 hectares .... je ne dis pas que j irai en tuer 10 ... mais il faudra le Raid pour m arreter à 2

Chutttttttttt.benj