ANCGE

Que pensez vous de L' ANCGE ?

je pense qu'ils se foutent de nous , ils nous disent on vous défend , on vous soutient , il nous dise appelants tolérés...............................ce matin , les nationaux nous sont tombés dessus "utilisation des appelants interdite" on a pris un avertissement mais le prochain coup c'est la prune .Qui 'c'est qui la paye la prune ,c'est pas eux alors qu'ils arretent un peu de nous faire croire monts et merveilles et qui se bougent un peu pour qu'on puisse récupérer le droit de chasser le gibier d'eau dans son art et au date d'avant

Je n arrive as a dire que tu as tort

Chez nous,ils ferment les yeux jusqu a dimanche,apres...

L'ANCGE est utile... sans Bettig !
Maintenant, de là à dire qu'il nous faut retrouver les dates d'antan, je ne suis pas d'accord, comment voulez vous chasser sans aucune limites 7 mois / 12 et faire perdurer la chasse...

exat je suis d'accord avec toi et je dirai meme mieux moi je suis pour ouvrir début septembre et fermé fin février en ferment le col au 31/01

Asso tres importante mais trop coupée de ses adhérents de base .En plus ,je pense qu'ils sont devenus trop "mous" envers les revendications qu'attendent les sauvaginiers .Je crois qu' un peu de sang neuf ferait du bien à l' ANCGE .15 Août /15 Février pour tous GE me semblent le meilleur compromis ,à ne plus lacher !!!

C'est un combat des chefs, ils tiennent à leurs sièges et oublient le reste.

Tous les memes , sont pas pret de voir mon pognon

D'accord avec toi benj.

ANCGE
5 avenue des Chasseurs
75017 PARIS
Tél : 01.47.64.64.90
Fax : 01.46.22.82.53



Association
Nationale
des Chasseurs
de Gibier d’Eau

Paris, le 09 mars 2009

JL BORLOO rencontre les chasseurs de gibier d’eau

Après avoir rencontré la Fédération Nationale des Chasseurs et engagé des avancées notables sur le dossier martre et belette, JL BORLOO a souhaité recevoir l’ANCGE, l’Association Nationale des Chasseurs de gibier d’eau, représentée par P. BETTIG et G. DEPLANQUE, la FACE et l’Union des Fédérations Côtières, en la personne de Y. BUTEL, pour envisager avec elles les améliorations possibles en matière de chasse des oiseaux d’eau migrateurs. J. BIGNON, député de la Somme et Président des Tables Rondes de la Chasse, participait lui aussi à cette rencontre.
La discussion, franche et directe, a permis le balayage des sources multiples du mécontentement actuel des chasseurs de gibier d’eau français. Les quelques avancées indéniables, et par tous reconnues, à l’ouverture pour les zones humides intérieures et l’arc méditerranéen, à la fermeture pour plusieurs espèces de gibier d’eau, ont en effet été largement entachées par des revers aussi malencontreux qu’incompréhensibles pour une grande majorité d’adeptes de cette chasse : moratoire sur une espèce en bon état de conservation, le courlis cendré ; perte de 10 jours de chasse pour l’oie cendrée alors que son explosion démographique est avérée au point de provoquer des dégâts et d’imposer des mesures d’éradication par endroits ; retard exagéré de l’ouverture de la chasse du vanneau huppé ; …
La principale réponse à ces questions est la mise en place immédiate et le démarrage du GEOC, le Groupement d’Experts sur les Oiseaux et leur Chasse. Une cellule scientifique objective que l’ANCGE appelait et continue d’appeler de tous ses vœux et qui travaillera prioritairement sur ces différents points dès le 31 mars !
Autre proposition retenue, l’envoi d’une mission parlementaire en Hollande qui aura pour objet de vérifier et d’analyser les destructions d’oies cendrées et rieuses pratiquées dans ce pays. Déplacement programmé pour la fin mars afin d’avancer sans tarder sur le dossier des dates de chasse de cette espèce en France.
Ont encore été débattus à cette occasion les textes qui constituent le cadre juridique supranational en matière d’usage durable des oiseaux d’eau : la directive oiseaux de 1979 et l’Accord International sur les oiseaux d’eau d’Afrique-Eurasie de 1995.
JL BORLOO, après une écoute attentive, s’est engagé à interroger le Conseil d’Etat en ce qui concerne la légalité ou non cette première, après avoir rencontré les partisans de cette procédure. Il pense opérer de même pour mesurer les conséquences, en droit interne, de l’application du second accord, ratifié à la fois par la France et l’Union européenne, sur la base d’une note que l’ANCGE s’est engagée à lui fournir sans délai.
A la demande de l’ANCGE et de J. BIGNON, JL BORLOO a aussi accepté de descendre au plus près du terrain pour envisager, de façon très pragmatique, d’apporter des solutions pérennes et de bon sens à des dossiers locaux rendus épineux par le temps perdu :
- opérer le transfert de 3 gabions de la Baie de Seine en s’appuyant sur l’accord validé par l’association qui gère la chasse ce site ;
- déplacer les gabions du Platier d’Oye en lançant immédiatement le financement par l’Etat de ce projet à hauteur de 33 % (200.000 €), élément déclencheur des autres subventions ;
- redéfinir les limites de la réserve naturelle de la Baie de la Canche.
Pour chacun de ces cas, les choses devraient bouger vite…et bien.
D’autres points importants pour la pratique de la chasse du gibier d’eau ont été aussi traités comme le déplacement des gabions sur le domaine public maritime et des huttes dans les zones humides intérieures, la chasse sur les territoires des trames vertes et bleues, ainsi que l’éjointage des appelants,… pour lesquels l’ANCGE s’est engagée à proposer des solutions réglementaires adaptées au ministre.
L’ANCGE, la FACE et l’Union des Fédérations Côtières sont sorties satisfaites de cette rencontre et du ton des discussions. Il semble que la chasse du gibier d’eau, un temps oubliée des différents débats et des avancées tant réglementaires que législatives, revienne au cœur des priorités du ministre et puisse bientôt afficher quelques résultats intéressants. Ce que tous les chasseurs de gibier d’eau de France souhaitent sincèrement et espèrent voir se concrétiser dès l’ouverture 2009, déjà toute proche.

Au moins les choses bougent ... Dans le bon sens semble-t-il ,mais il faut maintenir la pression ! Pourquoi un tel changement d 'attitude du ministre ,songe-t-il avec angoisse à la future manif à Valenciennes ou aux Européennes ,ou aux 2 ...

La seconde, certainement .

Je pense comme Arlatan, mais je remarque aussi que quand les pastèques ne sont pas autour de la table, on discute.

on peux donc se poser la question de l'intérêt des tables rondes?
A part faire bonne figure vis à vis de certains ? Mais il est certain que l'approche des élections européennes joue un rôle important.C'est à chaque fois pareil. Trés égoîstement si nous chasseurs pouvont y retrouver notre compte .......Soyons prudents car les politiciens nous déjà habitués à des retournements et ils savent si bien manier la langue de bois!!!

Connnaissant bien la politique, je prefere attendre pour voir.

L'OrneManchois61.50 a écrit:

Connnaissant bien la politique, je prefere attendre pour voir.

De toutes façons, que faire d'autre ?

Comme d'habitude toujours des belles paroles avant les élections et ensuite boummm on en reprend un coup sur la tête mais bon soyons optimistes.

Dans la foulée réunion du CNCFS, en espérant que cette foi-ci il va en sortir quelque chose de positif.

Citation :

Prochain CNCFS le 11 mars 2009 : Au programme de ce Conseil National de la Chasse et de la Faune Sauvage, l’arrêté « martre et belette », espèces pour lesquelles le ministre JL. BORLOO a reconnu « avoir fait une boulette ».
Le nouvel arrêté rectificatif réautorisant leur classement en « nuisibles » devrait être signé le 12/03/09.
Autre point important, le décret instituant la « contravention d’entrave à la chasse. »
Il prévoit une contravention de 5ème classe pour « le fait d’entraver délibérément un acte de chasse. »
Concernant plus particulièrement le gibier d’eau, l’arrêté créant le GEOC, Groupement des Experts sur les Oiseaux et leur Chasse, sera lui aussi soumis à l’avis du CNCFS. JL. BORLOO s’est engagé à installer le GEOC le 31 mars 2009 et à le faire travailler prioritairement sur le courlis cendré, le vanneau huppé et l’oie cendrée.
Les autres points de l’Ordre du Jour de ce CNCFS concernent le grand gibier, le régime d’indemnisation des dégâts, certains établissements d’élevage,…

J'espère que ça dure plusieurs jours ce genre de réunion, car il y a beaucoup trop de sujets primordiaux pour être traités sur quelques heures

nfo site

JL. BORLOO et J.BIGNON s’engagent pour la chasse du gibier d’eau

Dans le cadre de la rencontre qui s’est tenue le 09/03 au MEEDAT entre JL. BORLOO, J.BIGNON, l’ANCGE, la FACE et l’UFC, certains points importants ont été abordés qui n’ont pu être repris dans le communiqué officiel.

PMA huttes : le chantier va être ouvert sans délai. Le décret Cochet qui bloque cette évolution sera modifié comme le demande l’ANCGE depuis plusieurs années et le PMA éthique huttes introduit dans la réglementation.
Mesures législatives : J.BIGNON a réaffirmé la volonté de l’Assemblée Nationale d’introduire, via des DDOC (diverses dispositions d’ordre cynégétique) adossées à la proposition de loi Poniatowski, plusieurs amendements répondant à des requêtes de l’ANCGE : chasse de nuit en Vendée, droit de marchepied sur le DPF,…
AEWA : Le ministre a souhaité être saisi par l’ANCGE d’une demande officielle de prise en compte de cet accord international dans le droit interne français. Une note technique a déjà été réalisée sur le sujet, la requête officielle est en cours. Cette démarche est essentielle pour pouvoir chasser les oies jusqu’au 20 février.
Déplacement des huttes et gabions : Conformément aux engagements pris, l’ANCGE a déjà transmis au ministre ses propositions de modifications réglementaires tant pour les huttes des zones humides intérieures que pour les gabions du DPM (un problème récurrent pour les ACM des grandes baies et estuaires).

Pas mal ,pas mal ... Mais le droit de marchepied , c 'est quoi exactement ?

Pour le dépalcement des huttes, je comprends pour le DPM, mais sur les plans d'eau intérieurs le droit de propriété n'est il pas prépondérant?

En effet Dédé 13, juridiquement le droit de propriété prévaut,sauf que l'administration doit avoir le droit d'interférer, car en Gironde par exemple la Fédé doit être avisée de tout transfert.Quant aux éventuelles créations elles ne sont possibles que sous forme de remplacement d'installations abandonnées.La fédé récupérant les numéros vacants et les redistribuant aux nouveaux demandeurs ( sachant également que le possesseur d'un numéro d'installation pour la chasse de nuit, doit être titulaire du permis de chasser en cours de validité).Moralité, le droit de propriété dans ce cas là est remis en cause (je répète un propriétaire non chasseur ne peux détenir de tonne à canard, cas vécu cette année, pour une propriétaire prés de chez moi.)