Sécurité à la chasse et accidents.

Voici quelques récits d’accidents de chasse glanés ça et là sur les forums chasse, leurs auteurs ne m’en voudront pas je pense car c’est pour la bonne cause.
Juste pour inciter à la réflexion, sujet sérieux.

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Il y a quelques années sur notre commune, un promeneur a eu le bras sectionné par une brenneke qui a ricoché sur une pierre.
Le promeneur était notre président qui était venu écouter la musique des chiens à l'extérieur de l'enceinte de la battue. Je vous dis pas c'est plutôt impressionnant.

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Dans une chasse ou les carabines étaient interdites sous le fallacieux prétexte qu’elles sont beaucoup plus dangereuses que les fusils. Un pépé qui dormait à moitié sur son siège est réveillé par un train de sanglier, il se lève en catastrophe, épaule et tire lors du passage des sangliers, le problème est que le tir a eu lieu sur la ligne des postés. La brenneke a traversé un jeune bouleau pour aller ensuite on ne sait ou, par contre la personne qui était derrière le bouleau a pris les échardes de bois dans la joue, miracle.

Deuxième, moins rigolo si je puis dire toujours le même problème, les personnes rendues aveugles par le gibier et qui tire sans savoir ou se trouve le voisin, cette personne gravement blessé a pris une 300winch dans le côté droit au niveau des hanches, le bassin a été cassé, le rein droit détruit, et tout l'abdomen éclaté. Il a fallut remettre tout ça dans la veste du chasseur et la refermer pour ne pas que les intestins tombent a terre, nous l'avons ensuite sorti du bois par les travers car aucune ambulance ne pouvait venir le chercher, les pompiers sont venus aussi a notre rescousse et on fini de le transporter avant son évacuation par hélico. Pas joli a voir, il est resté sur un fauteuil roulant pendant trois ans, il ne pouvait pas être opéré une partie de l'ogive était restée enkystée dans la colonne tout prêt de la moelle épinière. Trois ans plus tard, l'opération a réussie et maintenant il remarche a peu près comme il faut.

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Un traqueur va voir le sanglier que sont père vient de tuer, pour le baguer. Il pose sa carabine contre un piquet de clôture, monte sur le barbelé qui accroche la détente, le coup part et la balle le traverse au dessus du coeur, l'artère est touchée et il meurt. Il avait 52 ans.

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Une battue, un chevreuil est tiré. L'animal tombe dans une clairière à quelques dizaines de mètres du chasseur. Il attend le bracelet qui doit lui être apporté par le chef de battue. L'heure tourne il fait très chaud, l'animal est en plein soleil, il décide de le ramener sous le couvert de la végétation. Il fait signe à son voisin et traverse la haie d'arbre qui le sépare du chevreuil. Il attrape l'animal par les bois, et le tracte pour le mettre à l'ombre. Soudain un coup de feu, la balle tape dans le chevreuil Il crie ! Son voisin qui était au courant, vient de tirer sur le chevreuil, pensant que celui ci se déplaçait seul: Bilan le tireur a été viré de la battue !!

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Deux chasseurs sont postés sur une piste forestière assez large. C'est un poste "à deux". La piste est en courbe, les deux chasseurs sont placés à quelques dizaines de mètres l'un de l'autre. Chacun est censé couvrir son secteur. Si des animaux arrivent entres les deux, les consignes de tir sont de tirer derrière, une fois qu’ils ont sautés la ligne.
Le chemin est un peu en pente, le chasseur de gauche est placé plus haut que le chasseur de droite. Le chemin faisant une butte entre les deux. Celui du haut ne voit que le buste de celui du bas.
Celui du haut est un jeune, celui du bas un vieux à moitié sourd.
Les sangliers arrivent et longent la ligne. Le jeune placé en haut, ne peut pas tirer, il ne voit que des formes dans le sous-bois. Il fait des signes au vieux qui est assis et dort à moitié, comme il est sourd, il fait des grands gestes pour lui signaler l'arrivée des sangliers. Le vieux se redresse, se prépare, les animaux sortent dans le creux du chemin entres les deux.
Le vieux épaule, et commence à arroser avec sa BAR le troupeau, le jeune a vu les balles taper sur le chemin (heureusement en pente) à quelques mètres de lui, il a plongé au sol par réflexe. Les animaux passés, et tous ratés, le jeune est allé donner son point de vue au vieux, il ne lui a pas collé son poing dans la figure (il aurait dû) mais presque. Bilan : Comme le vieux possède un domaine de chasse ou il invite du monde, il n'a pas été exclu de cette chasse

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Vécu et raconté par une chasseresse.

Un de mes amis a été tué au cours d’une battue le 17 octobre 1999, pris pour un sanglier. Je ne vais pas revenir sur les circonstances de l’accident dû à l’imprudence et au non-respect des consignes de sécurité, qui avaient, pourtant été données le matin même.
J’étais présente à cette battue et je peux vous assurer que j’ai encore en mémoire le déroulement de la journée, minute après minute.
Après avoir fait le pied, nous avons l’habitude de « casser la croûte » avant de partir au poste. Pour le dessert, nous avions partagé un cake que j’avais préparé et qu’il aimait tant. Ce fut son dernier repas.
A peine postés, nous avons entendu un coup de feu et quelqu’un qui criait : « Attention, attention, sangliers ! ! ! » Nous avons su après, que c’était le tireur qui ne s’était pas encore rendu compte qu’il avait tiré sur son collègue. C’est quand il s’est approché qu’il a compris ce qu’il venait de faire.
De là où j’étais, je ne voyais rien mais après avoir entendu un autre chasseur avertir « accident, accident », j’ai pensé que les chiens avaient provoqué un accident sur la route en poursuivant le sanglier. Je vois, un chasseur, qui ne se trouvait pas loin de moi, téléphoner et venir dans ma direction. Quand il a été à portée de voix, je lui demande ce qui se passe. Pas de réponse ! Il n’arrivait pas à parler. A ce moment là j’ai compris que quelque chose de grave venait de se passer.
Nous sommes restés quelques semaines sans chasser et puis la vie reprend le dessus. Quand nous avons décidé de reprendre la chasse, le hasard a voulu que je me trouve à un poste qu’il aimait particulièrement. Ce jour là, j’ai vu 3 sangliers : j’ai épaulé mais, soudain, prise d’une peur panique, je n’ai pas pu appuyer sur la détente. A la place des sangliers, je voyais notre ami.
Cet accident a eu lieu il y a plus de 6 ans et je peux vous assurer que l’on s’en remet difficilement. Mon mari, qui a vu son ami étendu par terre, a fait des cauchemars pendant des mois.
Alors, si je peux faire passer un message : soyez attentifs aux consignes de sécurité et vous, les responsables de battue n’hésitez pas à répéter, et encore répéter même si c’est contraignant.

Les consignes de sécurité ayant été annoncées le matin même, le responsable de battue (mon mari) n'a pas été inquiété. Il a été entendu par les gendarmes mais n'a même pas été convoqué au tribunal ni le président de l'ACCA, ni aucun autre membre de l'équipe.
Le tireur, a reconnu qu'il avait parfaitement entendu les consignes. Il avait dans sa poche, le règlement intérieur de l'association où elles étaient mentionnées. L'accident s'est passé le dimanche à 13 heures, le procès a eu lieu le mardi à 14 heures en comparution immédiate.
Il a été condamné à 1 an de prison dont 6 mois avec sursis, 5 ans de retrait de permis de chasse + des dommages et intérêts à verser à la famille. Il avait 35 ans, marié, père de famille.
Il a fait appel mais la condamnation a été confirmée.
Ecouter les consignes de sécurité ne suffit pas, une fois au poste, il faut les appliquer : avant tout identifier le gibier avant de tirer car dans le cas ci-dessus, il n'y avait pas de sanglier. Il savait, parfaitement où était son collègue puisque c'est lui qui l'avait placé mais nous ne saurons jamais ce qui c'est réellement passé. Il y en a un qui ne peut plus témoigner et l'autre, je ne crois pas trop à sa version des faits.

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J'ai été témoin, il y a quelques saisons de ça, d'un presque accident.
La battue aux chevreuils était commencée depuis une bonne heure et les chiens menaient, j'étais traqueur.
Arrivé a la ligne de tir, je regarde ou sont les postés et je me rapproche vers un collègue.
il n'y avait pas cinq minutes que j'étais a coté de lui qu'un chevreuil sort de la traque, il le laisse filer pour respecter l'angle de 30 degrés , il épaule et tire. le chevreuil s'écroule touché au défaut de l'épaule.
Et c'est là qu'on entend un hurlement , le collègue posté a environ 70 mètres à droite du tireur s'écroule , touché par la balle qui avait traversée le chevreuil, ricochée sur une plante de châtaignier avec un angle de 90 degrés et qui avait fini sa course dans sa cuisse. Il a gardé un bleu sur la cuisse pendant 3 semaines.
La balle, une breneke tirée avec un 12 superposé a 20 mètres environ.
POURTANT TOUTES LES CONSIGNES ETAIENT RESPECTEES, mais des fois c'est la faute a pas de chance.


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Un ami a aussi été touché au mois de décembre, lors d'une battue aux sangliers. La traque venait de passer la ligne qui était intermédiaire, donc les postés se remirent en place dans le dos de la traque. Quelques minutes après les traqueurs annoncent " sangliers en retour !". Mon ami qui était assis sur son siège se lève et se retourne entendant du bruit derrière lui. Son voisin de gauche qui lui regardait devant, voit un sanglier arriver en trombe le tire au saut de la ligne. N'ayant pas repéré la nouvelle place de mon ami. La balle lui traverse la cuisse. Il s'écroule par terre en hurlant "je suis touché "aussitôt retentirent les sinistres 10 coups de trompes indiquant arrêt immédiat de la battue pour accident.
L’équipe de secours arrive 6 minutes plus tard. Le toubib constate qu'il n'y avait pas d'hémorragie et de fracture, la balle était passée à 2 cm de l’artère fémorale. Si elle l’avait touchée, mon pote ne serait sûrement plus là. il s'en tire avec le nerf sciatique de sectionné.

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A Césarches (près d'Albertville) un drame a été frôlé.
Une balle perdue a traversé le toit d'une maison, puis le plafond pour terminer sa course dans le berceau d'Emma (1 mois et demi) que sa maman venait de prendre dans ses bras.
Gageons que Saint-Hubert avait un oeil sur cette petite.
La gendarmerie locale a ouvert une enquête afin de retrouver l'auteur du tir.

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Un spécialiste de la balistique régulièrement consulté par les légistes, a participé à des analyses d'accidents.

Dans un cas : Brenneke sur du goudron, sans respect du moindre angle de sécurité, puisque la balle a continuée tout droit dans l'axe du tir pour finir dans la hanche du postier suivant. Qui était bien dans l'axe, là ou il devait être c'est le tireur qui a reculé et qui a tiré sans réfléchir.

Une autre ricochet d'une TIG en 7x64, gravité moyenne dans le mollet, là aussi les angles étaient limites, mais surtout la balle tirée de bas en haut a ricochée sur un rocher, et le noyau résiduel est reparti en sens inverse avec une déviation réduite par rapport à la trajectoire initiale pour finir dans le mollet d'un posté 30m plus bas qui était sur la même ligne que le tireur, un peu au dessus de lui, et dos au tir au moment des faits.

Plus quelques autres, dans tous les cas la faute est humaine, pas de défaillances des armes, pas de trajectoires miracles inexpliquées, mais pour revenir aux angles celui de 30° n'est qu'une circonstance atténuante en cas d'accident s'il est respecté, mais une balle peut ricocher et entrer dans la zone "sécurisée".

Petits conseils en cas de doutes ne tirez pas, si une petite lumière s'allume dans la tête ne cherchez pas à comprendre suivez votre instinct et ne tirez pas.
Et surtout si un accident arrive, ne racontez pas de sornettes, les preuves sont faciles à démontrer.


« Heureusement chez nous cela ne pourras jamais se produire »

Si on commence à penser ça, c'est le meilleur moyen d'avoir un accident. Il faut toujours garder à l'esprit qu'une balle lorsqu'elle est partie, rien ne peut dévier sa course ni la bloquer. TOUS les tirs doivent êtres réalisés en pensant : Ou va finir ma balle. A ce sujet, l'usage de balles restant cohérentes après l'impact avec l'animal sont un plus, tous les projectiles qui se fragmentent, se décomposent, se séparent après l'impact sont des sources de problèmes, les éléments résiduels sortant parfois sous des angles TRES différents de l'axe d'entrée

Autre accident qui arrive souvent : le chasseur arrive à la voiture, il pose son fusil chargé contre l'aile ou une portière, il fouille sa poche pour trouver les clefs, l'arme tombe car en déséquilibre, ou un chien la touche elle bascule et le coup part, atteignant en général les chevilles. Dans le même style le chasseur s'assied pour faire une pause, le fusil calé contre un arbre, le chien excité saute de partout et touche les détentes ou fait tomber l'arme.

Une arme doit toujours être considérée comme chargée, et doit être déchargée ou neutralisée par son ouverture lorsqu'elle quitte les mains du porteur.
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Pour en terminer voici le récit d’un accident dont je n'ai pas été témoin, mais c'est ma famille qui fut touchée. Cela c'est passé en 1982 dans un marais entre Crau et Camargue. Donc battue dans un marais, mon beauf et son père sont les piqueurs, ils portent une casquette rouge, et ont clairement donné la consigne de laisser sortir les bêtes et de ne tirer que derrière, c'est à dire dans des champs ou des anciennes rizières bien dégagés et permettant de tirer dans de bonnes conditions. Les tireurs sont postés en hauteur sur les levadons (talus qui contiennent l'eau des rizières). Ils entrent donc dans l'enceinte à chasser avec les chiens en laisse, et presque tout de suite tombent sur une compagnie. Mon beauf se baisse pour découpler les chiens et juste à ce moment là il entend un coup de feu et son père lui dire "j'ai pris une balle", ce seront ses dernières paroles. La balle lui à traversé un bras et la poitrine et fut retrouvée de l'autre côté dans le pull-over. Un c****** a vu les sangliers et n'a vu qu'eux. Il n'a pas respecté la consigne de tirer derrière et a tué un homme. Depuis mon beauf a arrêté de chasser.

Si vous avez témoins ou victimes d'accidents de chasse vous pouvez en parler, celà donne à réfléchir.

jamais été victime d'un accident fort heureusement ,mais j'ai vu des "mongol" a la chasse , souvent aveuglé par le gibier (chasse au gros ou lacher de cocotte)ils faut leur retirer le permis a ces gens là, ceux sont des inconscients et encore tu leur explique , il t'engueule .Ca met arrivé en baie des veys , un mec tire des maubèches dans notre directions , ayant vu le coup se faire ,on a eu le temps de se retourner les plombs sont rester dans la veste huilé mais j'avoue que ça pique un peu , fou de colère je m'en vais voir le mec , il me dit qu'il ne m'avait pas vu (on etait sur le sable) et puis j'étais quand meme assez loin pour ne pas me faire de mal ,il a eu le droit de m'avoir mis hors de moi , une menace de le mettre au fond du canal ,le fit partir .On sait recroisé depuis plusieur fois il reste vraiment a l'ecart et fait attention maintenant .Tout ça pour dire qu'il faut un accident ou une grosse frayeur pour que c'est gens là se rendent compte qu'une arme peut etre dangereuse et je trouve ça honteux peut etre qu'une prévention plus accrue lors du permis permettraitde réduire ça ,pourquoi pas avec des photos chocs de personnes victime d'accident de chasse , ils font ça dans les stage de récupération de point pour le permis de conduire et j'avoue qu'après ça fait réfléchir

Mon pote de chambre a l enp fos sur mer avait une drole de cicatrice ...

En fait quand il avait 13 ans , il se promenait dans les bois avec son cousin quand soudain un coup de feu retentit , la balle a traversé la cuisse de son cousin avant de lui traverser l avant bras juste avant le poignet la ou en general les suicidaires souvrent les veines ... Par chance la plaie a coterisé tout de suite du fait de la vitesse de la balle ... Les deux n ont aucunes sequelles ... Le tireur lui , a verse d importants dommages et interets ....Il avait tiré ....du bruit .....

Je déteste quand des traqueurs amènent un fusil dans la traque simplement pour tirer du gibier et non pour éventuellement en achever (c'est le seul cas qui est, à mon avis, justifié). En effet, il y a deux ans, je me trouvais dans une coulée de sanglier à côté d'un vieux monsieur. D'un coup (et surtout comme d'habitude) un sanglier déboule dans la coulée où je me trouvais. Avec horreur je vois le vieux monsieur tirer sur le sanglier alors que la bête noire se trouvait à 3m de moi. L'animal est d'ailleurs venu mourrir à mes pieds... La peur de ma vie !

L'année dernière, sur la même chasse, un jeune chasseur avait tiré sur un sanglier en direction de la ligne des postés. Il l'a loupé et s'est bien fait remonter les bretelles par un autre traqueur !

Il me reste deux plombs dans la joue de la part d'un tireur,placé à 30 metres et qui a tiré une bécassine en plein travers et en plein découvert,heureusement qu'il y avait du vent,j'avais la main sur le visage et c'est ma main qui a pris les autres plombs.

Enfin, Gxa nous avoue qu'il n'a pas de plomb dans la cervelle...On s'en doutait..!
Même chose pour moi, sauf que là, c'était une caille en retour qui franchissait la ligne des marchants...J'ai pris la charge de 8 en pleine poire...Le cuir du Koba étant plus rude que celui du Gxa, je n'en garde aucune séquelle...

Le chasseur se laisse "aveugler" par le gibier qu'il suit dans sa ligne de mire. Et il tire au moment qu'il estime le meilleur, sans voir ce qui se passe ou ce qui se trouve dans l'environnement proche de sa cible...

Le problème c'est que l'environnement on doit le connaitre en permanence et ne pas s'en inquiéter qu'au moment de l'occasion de tir.

Oui;mais même s'il connait l'environnement et la place du voisin,dès que le gibier apparait,toutes les autres données disparaissent et il focalise sur l'animal à tirer en oubliant tout le reste.Le gars qui m'a plombé a failli recommencer l'après midi avec un autre.

J'espère qu'il a été lourdé.

Et ben ca il faut le faire et en plus c est un recidiviste

Je discutais de ça avec le beauf de mon frére cet aprem. Lui c'est lors d'une battue aux perdreaux en Espagne . Première traque son voisin de droite est un dangereux suiveur, et ce qui devait arriver arriva: plongeon de justesse et la charge qui passe au raz de l'affût. Deuxième traque, le suiveur est ce coup ci à gauche, deuxième plongeon et là, la charge est dans l'affût. Je pense qu'à sa place le mec aurait eu du mal à s'assoir pendant quelques temps.

Un chasseur est mort samedi sur la commune d'Olargues dans l'Herault. C'est un homme de 51 ans, père de 2 enfants.
Il était piqueur et allait au ferme sur un animal blessé. Un autre chasseur de 71 ans qui avait entendu le ferme a voulu y aller lui aussi et le drame s'est produit.

Un chasseur d'une trentaine d'années a été tué accidentellement par balle Samedi matin.
L'accident a eu lieu lors d'une battue au sanglier à Doussard, dans le département de la Haute Savoie.
La victime aurait été atteinte peu avant midi, d'une balle dans le thorax, selon les premiers éléments de l'enquête.
L'homme participait avec un groupe de chasseurs à une battue au sanglier.


Un autre de 62 ans dans l'Aude, tué d'une balle en pleine tête durant une battue.

Condoléances aux familles.

A priori, 80 % des accidents de chasse se produisent au sud de la Loire...

Tiens,pour une fois,l'Alsace n'est pas visée.

koba a écrit:

A priori, 80 % des accidents de chasse se produisent au sud de la Loire...

Et comme 80% des chasseurs se trouvent au sud de la Loire... Au nord de la loire c'est surtout de la chasse à courre et les accidents de chasse sont classés par les assurances comme accidents d'équitation.

Oui je sais je suis de mauvaise fois, mais je me régale.

Dédé, de mauvaise foi ? Mais non...ou alors ce serait bien la première fois...

j aietait victime d un accident heureusement sans dommage des plombs dans la cheville .s etait ma premieres annees de chasse ouvertures des vignes il y avaient des compagnies de perdreaux rouges et quellques lievre. il etait a peu pres 15heures je decida de faire une parcelle de vignes ou se trouvait deja mon pere de l autre cote a 100metres quand 1 compagnies de personnes 5 ou 6 commença a chasser juste derriere moi a 70m "donc ouverture tee shirt casquette rouge fluo " quand d un coup 1 coup de feu resone le mec tire 1 perdreau par terre j attends siffler de partout " chez nous ces que des clapiers et d un coup je me suis retrouver a genou il y a 1 plomb qui ai renter de quellques mm au dessous de l os j ai gueuler tout ceux que je pouvais mais il s en fouter ils ont continuaient a tirer cette compagnie je suis aller les voir comme je pouvais ils m ont juste dit que les plombs n allaient pas jusqu a cette distance vive la mentalite " de tirer 1 perdreau par terre "

Avec Dédé il était bon pour le talon de la crosse dans les gencives. Comme aide pédagogique y a pas mieux.

Je ne dirais pas mieux Dédé , avec moi il aurait eu intéret de courir vite le gars , je lui aurai fait comprendre que tirer des perdreaux à terre ça coute cher ( il aurait eu mal c'est sur ).

Les perdreaux à terre je m'en balance, ça ne relève que de l'éthique, mais le plomb dans les jambes ça relève de la sécurité. Il aurait tout aussi bien pu faire la même boulette en tirant un lièvre.

dédé a dit

Citation :

" il était bon pour le talon de la crosse dans les gencives. Comme aide pédagogique y a pas mieux "

tout à fait c'est juste mais je les avaient vuent en train d'ouvrir quelques bouteilles vers 12h et à 15h ils recommençaient juste à rechassaient