Tu connais Luc ?

Voilà des interventions bien rafraîchissantes. À commencer par celle de Niko dont je me rappelle vaguement l’aventure, effectivement.

À mon tour, je soumets, pour le bon plaisir à tous, cette intervention, un peu longue, je l’accorde, mais objective autant que faire se peut. Je suggère avec humilité de passer au travers et d’y trouver quelques trucs qui vous permettront, je l’espère, de distinguer un éventuel bon fournisseur de chasse au Québec, d’un vendeur de voitures d’occasion déguisé. J’ai même la certitude que LucPat sera d’accord avec cette intervention.

À la base du problème dont nous discutons, en somme, il y a plus d’un facteur à considérer :

- Les attentes des chasseurs européens lorsqu’ils viennent au Québec sont souvent exagérément élevées à cause de deux facteurs (rassurez-vous, ça n'est pas de leur faute ;-) : Premièrement, la limite de récolte d’oies blanches qui est fixée à 20 oiseaux par jour, n’est pas du tout conforme avec la réalité, compte tenu du niveau de difficulté relié à la chasse de cette espèce. On sait tous que la Grande Oie des neiges est l’oiseau migrateur le plus farouche qui soit en Amérique, et aussi le plus difficile à leurrer. En conséquence, la moyenne nationale de récolte quotidienne est, selon l’année, de 2 à 4 oiseaux par jour pour le chasseur de base. C’est pas moi qui invente ça, il s’agit des données du Service canadien de la Faune qui me sont fournies lors des réunions de la Table de concertation sur la gestion des oiseaux migrateurs. Si, en début de saison d’automne, par exemple, quelques appelants suffisent à attirer les oies juvéniles, un guide doit souvent utiliser jusqu’à 700 ou 800 appelants de qualité en fin de saison pour espérer réaliser des tableaux intéressants.

- Comme certains sur ce forum l’affirment avec raison, plusieurs guides et pourvoyeurs utilisent justement cette limite quotidienne de 20 oies dans leur publicité pour leurrer les chasseurs étrangers (et locaux, même) qui s’attendront aux chasses miraculeuses à répétition… Or, je vous le dis, attendez-vous à des tableaux plus modestes. Le Québec, c’est pas l’Argentine. Ici, on chasse. Ce n’est pas un stand de tir.

Naturellement, les oies ne volent que rarement à portée de tir et il faut employer tout son génie pour les faire descendre aux appelants. Les stratégies employées sont très variées, les guides doivent travailler sans cesse pour modifier leurs présentations et adapter leurs stratégies en fonction des humeurs changeantes des oies, des vents et, dans notre cas, des marées. En ce qui nous concerne, nous travaillons souvent en équipe de deux guides par groupe de chasseurs expressément pour ces raisons. En conséquence, comme Niko62 l’affirme, même si les chasseurs réalisent un tableau plus modeste une journée, ils n’en tiendront pas rigueur aux guides qui, ils en auront été témoins, auront vraiment tout fait pour améliorer la situation.

- Un autre aspect qui peut décevoir les chasseurs européens se situe au niveau de la flexibilité d’un guide quant à l’adaptation de ses méthodes de chasse aux préférences des chasseurs européens. Par exemple, il importe de s’informer si le pourvoyeur ou guide que vous pressentez comme fournisseur pratique le tir collectif (préférence des chasseurs québécois) ou tour à tour. Dès le départ, c’est un voyagiste français qui a mis nos activités de chasse au point et le tir collectif fut la première habitude bien québécoise dans laquelle il a « mis la hache ». En conséquence, chaque groupe choisit de pratiquer la méthode de tir qu’il préfère. Si certains ont pour objectif de réaliser des tableaux impressionnants, ils choisiront le tir collectif sur les larges bandes d’oiseaux, chacun respectant bien sûr son couloir de tir. D’autres, plus puristes, choisiront de tirer tout à tour pour apprécier la qualité des tirs de chacun. Or, en ce dernier cas, il est clair que les tableaux seront moins garnis. Quoiqu’il en soit, il est de votre devoir d’imposer au guide vos préférences. Je ne crois pas me tromper en affirmant qu’il s’agit ici d’un des aspects qui ont déplu à Niko62 lors de son séjour dans le Centre-du-Québec. Niko sera heureux d’apprendre que le pourvoyeur en question a « ajusté le tir » depuis…

Enfin, si vous ne formez pas un groupe complet d’au moins 4 chasseurs (la norme, selon le guide choisi), demandez à être jumelés à d’autres chasseurs européens. Avec un tempérament un peu plus « cow-boy », les chasseurs québécois acceptent rarement de se soumettre au tir tour à tour, préférant généralement le tir collectif et les tableaux bien garnis.

- Au final, 8,33 oies par fusil, c’est peut-être pas énorme, mais c’est tout de même la réalité. Cher « Sarcelle à cagoule » (joli nom), après qu’un groupe de copains ait tiré 35 ou 40 oies dans une matinée, ça laisse entendre plusieurs cartouches de grosses charges (en moyenne, les tirs atteignent leurs cibles dans seulement 35% des cas, champion de ball-trap ou pas), une légère sensation de fatigue à l’épaule (!) et, habituellement, une grande satisfaction. Quant à moi, je préfère m’en tenir à ça dans mon approche lorsqu’on me demande un devis et qu’on me pose des questions. Et c’est probablement une des raisons pour lesquelles les gens y reviennent d’année en année.

- Celui qui prétend réaliser ses limites plus fréquemment qu’à 20 ou 25% de ses sorties est un faux-cul. Point final. Et encore, ce pourcentage dépend du taux de reproduction des oies. Plus y’a de jeunes oies dans le troupeau, meilleures sont les chances d’atteindre ce ratio. Par exemple, cet automne, avec un taux de reproduction nominal EXCEPTIONNEL de 11% à peine (la moyenne étant de 25%), peu de chasseurs ont réussi cet exploit, peu importe la région où ils chassaient. Ce qui m’amène à vous suggérer de choisir un fournisseur qui peut compter sur un « Plan B » pour satisfaire vos attentes et qui, dans le cas où les oies blanches sont plus difficiles à leurrer, ou sont présentes en moins grand nombre, est en mesure de se rabattre sur la bernache ou le canard et offrir tout de même de belles journées de chasse et des récoltes intéressantes.

- En ce qui concerne les meilleures périodes de chasse, c’est plus difficile à établir. Pendant l’automne, les oies se présentent habituellement vers la fin de septembre dans le sud du Québec (un peu avant dans la région du Lac Saint-Jean), mais c’est aux environs du 3 au 5 octobre que les oies juvéniles, plus lentes, arrivent accompagnées de leurs parents. De façon générale, la qualité de chasse devrait être à son maximum à partir du 5 octobre, donc. En ce qui concerne le printemps, puisqu’il s’agit d’un patron de migration tout à fait différent (grossièrement, les oies se pointent d’abord dans le sud-ouest du Québec, puis se répartissent vers l’est pour aboutir enfin dans la région des îles du haut-estuaire (Cap Tourmente, l’Isle-aux-Grues, Montmagny) et au Lac Saint-Jean), la période optimale est propre à chaque région. En ce qui concerne notre secteur, celui du littoral, les oies se pointent habituellement vers le 10 avril, alors que le fleuve se libère de ses glaces (les oies ayant besoin d’eau libre pour se reposer), mais ce n’est qu’à partir du 15 avril que nous débutons la chasse, question de laisser les oies arriver en masse. Puis les grandes marées de mai (fin avril-début mai) ajoutent au plaisir de la chasse printanière et, habituellement, à la productivité de la chasse, puisque ces marées sont souvent accompagnées de forts vents. La particularité de la chasse printanière réside surtout dans le fait que sa productivité est beaucoup plus constante qu’à l’automne, au fleuve du moins. La migration amenant de nouvelles oies chaque jour, même les oies adultes sont plus faciles à leurrer, ne connaissant pas les endroits dangereux pour elles. Enfin, sur le littoral (je le spécifie), et bien qu’on ignore pourquoi (peut-être à cause des vents plus soutenus), les oies volent naturellement plus bas qu’à l’automne. LucPat serait plus en mesure que moi de dire si c’est aussi le cas dans les zones agricoles. Mais en somme, chaque saison a ses charmes et peut être aussi productive que l’autre. La différence, c’est que l’automne, on a aussi droit au canard et à la bernache. La chasse printanière se poursuit jusqu’au 18 mai dans la vallée du Saint-Laurent et jusqu’à la mi-novembre pendant l’automne.

Au final, il est vrai qu’un guide ou un pourvoyeur n’a aucun contrôle sur la faune. Par contre, il a une certaine influence sur son comportement, pour peu qu’il se donne la peine d’y travailler en conséquence. Et il a aussi une influence certaine sur la satisfaction de ses invités chasseurs (c’est même sa responsabilité), dans la mesure où il se met en position de pouvoir leur offrir des alternatives, comme la chasse au canard ou aux bernaches, par exemple, et une prestation hôtelière irréprochable.

Voilà. J’espère sincèrement que ce petit guide d’achat de voyage vous aidera, ne serait-ce qu’un peu, à faire des choix éclairés.

À plus.
Luc

Voila de bonnes explications, merci Kennebec.

Salut à tous,premierement Mr de kénébec sache que je ne suis ni guide ni pourvoyeur mais juste un chasseur de migrateur du sud du Québec qui travail à temps plein chez rona,ce qui fait que des oiseaux j'en pète mais avec modération "une centaines par an"toute especes confondue.Mon ami niko vien chez moi à titre d'invité et ami de la famille depuis 2 ans,"sa lui coute rien"c'est un ami ,je fait ca pour le plaisir de chasser avec un gars d'ailleur qui tripe chasse comme nous sans aucune autre idée en tête que d'avoir du fun.J'ai rien à prouver ici ou sur d'autre forum,mais pour connaitre mes amis Francais depuis déja plusieur années
je sais que pour 7 ou 8 oies par jours de chasse,ils ne serais pas heureux
de semblable résultats,bien que ce soit une belle moyenne pour nous qui avons pas 5000km à faire pour aller chez toi.Pour la superbe région du cap je sais que la chasse y est parfois bonne parfois ordinaire,c'est juste pour ca que j'ai dit au amis de faire attention,pour des amis aussi loin de chez toi tu ferais pas la même chose Luc?Je suis sur des forum ici et des
guideux j'en vois plein depuis 2 ou 3 ans des petits cro... qui ce fond payer leurs stock par des gars qui travail toute la semaine pour faire une ou deux sorties par automne et qui tue à peut pret rien et qui sont extremement déçu.Les gars de ce forum ci sont pas des caves et savent prendre des renseignement ai pas peur si tu peut leur prouver que sa vaut la peine de payer 3000$ pour semaine de belle chasse chez vous y sont capable de traversé pis ma etre le premier à etre heureux de ca je veut juste pas les décevoir de mon chez moi "le Québec" sa fait des années que je leurs vente nos spots de chasse en disant que c'est le best
je veut pas faire rire de moi.

Merci bien pour l'invitation mais chus pas vraiment un lèche c... qui cherche des chasses sur le bras si ont ce rencontre un jour sa vas me
faire plaisir de jaser de chasse avec toi une couple d'heure,"J'ai ben d'la geule"mais chasser sul bras c'est pas mon style,chus p'tètre cave de pas accepter mais chus faite de même.

Salut bien à vous Lucpat.

J'adore , je me marre ... Vive le Quebec !!

Kennebec , t as qu a nou y mettre 1 semaine avec l ami Milouin sous tes Grosses Oies .... on verra pour le 35/100 ... On finira bien par s ' y regler !!!

Vantard, va ! Continue à courir àprès tes Bécasses parisiennes, tu porterais la poisse de l'autre côté de l'Atlantique !

Niko super discour!!!

Merci pour ces precisions Kennebec .
Luc , tu me connais , on est un peu pareil , mais tu devrais accepter . Ca ferait un beau cadeau de noel pour le jeune Pat et toi ! Tu serais l eclaireur de CPA !

Encore une fois ,le mot juste vient de Milouin !
Merci Kennebec pour ces précisions ! Et voilà un beau sujet ,traité avec sérieux ,humour et au final qui donne envie d 'en connaitre plus !!!!!

Effectivement, il n'est pas question de lécher le cul de qui que ce soit ici (c'est permis sur ce forum de dire le mot cul?).

Mon intention est noble. Mon invitation ne sert qu'à changer tes perceptions, Luc. Et à te connaître, tiens.

Car tu as bien raison, y'a beaucoup de "crosseurs" (et ça, c'est permis?) dans l'industrie. Mais tu avoueras qu'il y a autant de ragots...

Allez, prends un ticket pour les grandes marées de la fin avril. Et si je fais bien de comprendre que (Pat) est ton fils, amène-le. Il va tripper autant que toi.

Mon offre est sincère.
Apporte six bières si tu tiens à ne rien me devoir.

Salut Kennebec, très belles explications sur vos façons de chasser dans vos pourvoiries, j'aimerais juste te dire de ne pas faire trop de comparaisons faciles sur la façon de chasser des Français a l'etranger,lorsque tu dis ici on est pas en Argentine, ce n'est pas un stand de tir, ici on chasse !! il faut que tes sources soient bonnes.Les Français ne sont pas identiques aux Américains ou aux Italiens qui se déplacent avec des paires de semi automatiques pour tirer des tourterelles.Décrocher une sarcelle a 40 m en travers avec un 20 et 28g de plomb ou faire basculer une perdix a 30m a l'arrêt d'un chien avec un cal 28 ça n'a rien a voire avec du tir facile !!!!! Par contre j'ai chassé au Québec, pourvoirie de Rimouski, alors que mon père et moi cherchions les "gélinottes"(pardon pour l'orthographe) en marchant des KM, les gars du coin arrivaient montés sur les "quad" et tiraient les oiseaux au 410 ???Peux tu nous parler des chasses aux faisans dans ton pays ou les oiseaux bien gras sont lancés des tourelles.Le chasseur Français a des méthodes de chasse complétement différentes des chasseurs d'autres pays ou d'autres continents .En toute amitié, juste une petite mise au point.Cdlt.JMARC

Le creston, je vois que tu as été témoin des plus "belles" chasses du Québec: "road hunting" qui consiste à tirer des gélinottes (ton orthographe était exact) à partir de la fenêtre d'un véhicule ou d'un quad, et les « roues du Roi » qui ressemblent étrangement à des séances de pigeon d'argile, mais avec des faisans vivants...

Si le premier phénomène est tout à fait courant (on le fait même dans le petit chemin qui passe devant ma maison et je ne m'y habitue pas), le second, par contre, j'en ai été témoin qu'une ou deux fois. Mais je sais que cette vieille tradition, d’origine britannique je crois, se pratique ici aussi. Mais je garderai pour moi mon opinion sur ce genre de pratique, puisqu'il s'agit au Québec de sujets qui soulèvent souvent la polémique et heurtent les sensibilités. Tout comme la chasse aux oies à l'approche d'ailleurs. Les forums de discussion d'ici sont le théâtre de querelles incessantes entre les chasseurs dits "sportifs" (ceux qui chassent avec appelants) et les "rampeux" (ceux qui pratiquent l'approche) qui se méprisent les uns et les autres. Si tu n'y vois pas d'inconvénient, je me mettrai à l'abri des représailles en me taisant là-dessus...

En tout respect, ma référence à l'Argentine ne faisait aucunement allusion aux tireurs de chez vous, mais était destinée à imager la façon tordue de certains pourvoyeurs de présenter l'abondance des oies blanches et les quotas libéraux comme étant un gage de facilité et de chasses miraculeuses pratiquement assurées; des attentes – et désillusions - que ce discours peut provoquer chez certains chasseurs, même québécois. À mon tour, je prends bien soin de ne pas tomber dans le piège d’émettre une opinion basée que sur ma perception des choses. Je le fais volontiers derrière une bière, mais pas en public.

Par contre, si tu m’invites à causer de la qualité des tireurs français, je trouve ça un peu délicat, puisqu’on peut facilement faire dans le chauvinisme et ça risque de froisser des chasseurs québécois qui n’y trouveront pas leur compte… Mais je me risque tout de même et, parlant en toute connaissance de cause, je dois dire que j’ai le privilège de recevoir chaque année des dizaines de chasseurs européens, dont de très beaux tireurs d’à peu près partout chez vous : des huttiers du Nord, des « hardcore » du Mont Saint-Michel, des tireurs à gros volume de la Camargue ou de très adroits aquitains. Cela dit sans basse flatterie, j’ai souvent droit à de très beaux spectacles lors des passées d’oiseaux rapides comme la sarcelle et le morillon, par exemple. Et j’en retire une énorme satisfaction.

À bientôt.
Luc

Ouin fait attention sont facile à faire chialer c'est francais la.
Comme tu peut voir c'est tres différent de nos forums de( sauvaginier du québec), Mais j'ai de tres nombreux amis ici et pour les protéger j'ai donné mon opinion sans plus,j'ai rien contre les guides ou autre mais
c'est devenu une plaie au Québec les guideux ,comme les rampeux.Pour le coin du cap j'ai comme ben d'autre fait mon tour à l'action de grâce pour aller baver sur la trail le long du fleuve en regardant les blanches
venir me niaiser à 50 pieds au dessus de la tête,mais sa fait parti de la game comme ont dit.Le creston, nous aussi ont désaprouve les chasses qui sont non sportive mais comme partout au tour du monde y à des c...
(pis des rampeux.)

pour t'ont invitation Luc arrete tabar,,,,tu fait expret pour me faire brailler.
Oui Pat c'est mon fils de 16 ans pis je le sais qu'il triperais dur,en tout cas
ma y penser meton.

Je vois qu'on parle le même language.C'est pas l'abondance du gibier qui doit changer nos habitudes au contraire c'est de le prélever autrement . Il doit commencer a faire froid dans votre pays ?

Resalut le creston,et bien pour moi au sud il fait 6 aujourd 'hui mais le petit vent sud ouest fatigue un peut car il apporte un fond d'air humide qui tape les vieux os des chasseurs.Le plus important c'est qu'il n'y à pas
encore de neige chez moi,je peut même dire que la récolte de maïs n'est
même pas fini ici c'est pour dire le temps que l'ont à.

Je viens de relire tout ça : rien à dire, tout le monde est resté bien poli ! Kennebec s'est très bien expliqué, Pat a mis les choses au point ( Mort aux rampeux ! ), et même Creston y est allé de son couplet pro-argentin ! Comme quoi, dès qu'il y a du pognon en jeu...

Au lieu de faire ta mauvaise langue Koba ,vas donc tirer des édredons québécois !!!

Il préfère les édredons écossais et je le comprends, ça a l'air d'être plus calme chez les Mac.

T'as vu juste, André ! Et puis c'est juste à 2 heures de Roissy ! Ca me ferait mal au croupion de me taper 6 heures d'avion minimum pour aller tirer des Becs à vase, fussent-ils exotiques ! Ou alors, faut me motiver grave ...

Mon pauvre Koba ! Oies des neiges ,outardes ,gélinottes ,tous ces noms ne peuvent quand même pas te laisser indifférents ?

Tu rigoles ? Trop de business, là-bas...Et puis je suis sur un coup au Grand Tétras ! Ca, c'est un Oiseau qui me fait rêver...Tu sais qu'à l'Est, il est considéré comme un Grand Gibier ? Fabuleux, non ?

Là tu m 'énerves !!!! C 'est pour moi le plus beau de tous les oiseaux (avec le tétras-lyre bien sur) ! Où ça ? Russie ? Au chant ?

Ah là, effectivement c'est du sérieux. Le plus bel oiseau gibier qui soit. Chassé à l'approche au chant ça doit être fabuleux. Mais va te falloir une 22 Hornet Christophe.

Je vois que l 'oiseau te tente aussi Dédé !

Celui là et bien d'autres, mais...

Ouvrez un nouveau sujet les gars que cela m'intéresse aussi!!! comme ça on laisse les québécois débattre