Rien n'est impossible à la chasse !

Notre logique humaine n’a souvent rien à voir avec le comportement réel des animaux qui, rappelons-le nous bien, sont chez eux. Racontez-nous comment le gibier vous a surpris en accomplissant une/des actions que vous n’auriez jamais soupçonné.

J’ouvre le bal :

L’année dernière, à la même période, mon parrain de chasse nous avait invités un matin à l’affût et nous avait recommandé d’aller en plaine. Nous nous trouvions à la crête d’une vallée, en face de nous se trouvait la forêt et à notre droite, un champ de colza à environ 30m. Mon père se trouvait à ma droite. Il était environs 5 heures du matin quand j’entends un énorme bruit provenant du champ de colza alors que je somnolais. Je me retourne et quelle ne fut pas ma surprise de voir un jeune cerf en velours ! L’animal était d’ailleurs bien coiffé ! Il faisait moult bonds dans le colza. Je le dis à mon père, qui me regarde tout étonné. J’insiste un peu plus, mais lui ne réagit toujours pas. Finalement il se retourne et esquisse un sursaut. Il était vraiment surpris de constater que j’avais raison.

Ma seconde rencontre se déroula hier soir. Nous étions en plaine non loin d’un autre mirador à notre droite (toutefois caché par une mince sapinière), devant nous se trouvait une roselière. L’herbe derrière nous était fauchée ainsi que celle de l’autre côté de la roselière. Notre affût touchait à sa fin quand nous voyons arriver une compagnie de sangliers de l’autre côté de la roselière: une laie d’une soixantaine de kilos menait ses 4 petits, trois de 20 kilos environs et un dernier beaucoup plus petit (10 kilos maximum). Les animaux sont allés ensuite se bauger dans un des saules têtards. Surpris, contents de voir des sangliers (je me suis encore dit que je n’avais plus vu de bêtes noires depuis un bout de temps et espérai ainsi d’en voir) et un petit peu dégoûtés. En effet, nous nous sommes dit qu’il aurait mieux fallu être sur le mirador qui se situait à notre droite pour avoir une chance d’en tirer un : ce mirador se trouvait juste dans le prolongement de la course des sangliers. Mais nous avions décidé de rester encore une dizaine de minutes pour au moins les entrevoir près de ce mirador. Nous étions persuadé qu’ils allaient se souiller dans le ruisseau qui coulait dans la roselière puisque la nuit n’était pas encore tombée et la visibilité n’était alors que peu amoindrie. De plus c’était une laie avec des petits, elle n’allait donc pas les exposer en vermillant dans l’herbe fauchée qui se trouvait derrière nous… Je fus la première à descendre et mon père me recommanda de ne pas faire de bruit car un chevreuil « nous » avait déjà repéré et aboyait. Cependant, une fois dehors j’entendis quelque chose bouger dans la roselière. Je regardais au travers des jumelles, mais ne vis absolument rien tellement la végétation était haute ! Je descendis donc doucement. Une fois arrivée au pied de l’échelle, je vois et entends mon père me faire signe de me taire, le fusil dans une main et pointant un doigt de sa main libre vers la droite. Je porte mon regard dans la direction indiquée et aperçoit avec immense surprise la laie arrêtée de plein travers à 40m ! Les jeunes sangliers sortirent ensuite l’un après l’autre de la roselière et filèrent à toute allure en direction du couvert non loin de là. Mon père n’a pas pu tirer car les animaux se retrouvèrent vite hors de portée de tir.

Court , net et Precis ...
J ai vu un Faisan blesse plonger dans une riviere ...

Tout aussi court; un lapin traverser un canal à la nage pour échapper au chien.

J ai vu un lievre tenter la meme chose , mais j ai pu l arreter un peu avant ... Resultat , un lievre mort tout trempe ...C est moche !!

Pour moi un pigeon tiré , tomber comme une m...de de plusieurs dizaine de mètres entre mon collègue et moi et a 1m du sol ouvrir ses aile et filé indemne devant 2 cretins avec des yeux effarés

@+

La saison dernière, je tire un lièvre qui fût blessé de l'arrière-train il se refugit dans une muraille de pierre juste a côté de moi!
Je ne peux le récuperer car il se réfugit dans une galerie profonde! je creuse mais impossible a attrapé .




Fais attention a l'orthographe !

Salut,

Alors la première serait un lièvre que l'on chassait tout les dimanche et qui nous échapper toujours en passant au même endroit. On compris par la suite en se mettant à différents secteurs que le lièvre traversait un petit court d'eau à la nage.

Une autre fois, on tirait les pigeons. On en a prélevé deux, comme morts, sauf que le lendemain en ouvrant le bac du frigo, un des pigeons s'est envolé dans la cuisine. Ca c'est un peu plus hard par contre mais bon ça peut arriver à tout le monde.

Une fois, en marchant dans un chemin, je n'ai pas entendu 4 cerfs qui venaient sur ma droite, sur moi, heureusement que la personne derrière moi m'a dit de m'arrêter car à deux mêtres près j'étais par terre.

Moi , j ai pu constater le beau cheptel de courlis dans la Manche , mais incroyable les ecolos ne les voient pas ...Comme quoi rien est impossible a la Chasse

Un peu plus glorieux, j'ai vu, sans participer aux tirs, une pose d'un milouin, puis de 2 SH, le milouin s'amuse à plonger... une fois la tête dans l'eau on tir les 2 sarcelles, le milouin remonte l'air de rien et nous pouvons le tuer à son tour.

Oh le Vilain !!dis au moins que tu ne l as pas fait expres