Pour resumer

Les tables rondes n auront servi a rien ...
Les ecolos par le biais d a lain bougrain dubourg demandent le moratoire pour 5 ans de 6 especes , dont le courlis et les barges ...
Une ouverture du vanneau au 15/10
Une ouverture sur les marais interieurs troisieme decade de septembre

Un seul homme a les Cartes en main ...Jean louis Borloo ...
Il peut acceder a nos demandes , une ouverture au 02 aout pour tous ...
Acceder aux demandes du pseudo ministre bougrain dubourg
Ne rien faire , et nous nous en refererions a l arrete de 2006

Les 6 espèces :

Courlis cendré
Barge à queue noire
Barge rousse
Bécasseau maubèche
Chevalier gambette
Eider à duvet

Instauration d'un PMA de 5 vanneaux / jours jusqu'au 15 octobre

Et l an prochain , chipeau , sarcelle d ete ,et l annee d apres...
Ce systeme de moratoire est une bombe a retardement !

C est bizzarre , je croirais m entendre il n y a pas 10 jours ...

En effet ces histoires de moratoires c'est une connerie monumentale !!!Non seulement on doit s'y opposer en bloc mais en plus tout faire pour reconquérir le terrain perdu.Les écolos l' ont bien compris "la meilleure des défenses c'est l'attaque" !Ils en demandent toujours plus ,meme si ça nous semble énorme et injustifié, pour en obtenir un plus à chaque fois.Comme pour les dates, c'est la fameuse technique du grignotage.Maintenant il faut dire STOP et réaffirmer nos positions .

C est Evident !

la mobilisation reste et doit rester le mot d' ordre !
Tous ensemble on peut gagner mais nous diviser serais le pire qu' il puisse nous arriver.
Restons soudés , en montrant tous notre détermination est le mieux que l' on puisse faire.
Bravos encore à tous nos amis chasseurs pour s' etre mobilisés intelligement.

Comment veux tu rester unis alors que d'un côté les jaloux prônent le PMA et que d'un autre les chasseurs traditionnels ne veulent plus rien lâcher ?

niko62 a écrit:

Comment veux tu rester unis alors que d'un côté les jaloux prônent le PMA et que d'un autre les chasseurs traditionnels ne veulent plus rien lâcher ?

voici encore la division des chasseurs mais raisonnablement un PMA ne gène en rien au plaisir de la chasse

Au plaisir , peut etre pas , vu qu il est facilement contournable ...
Mais ce serait encore lacher quelquechose et ca c est inenvisageable

Peut-être enfin la j'étais pour le pma mais l'union fais la force alors il faut dire non aux tables rondes hauts et forts et regroupés tout le monde même si l'entente entre les différents chasseurs montre une certaine indifférence

Tu pourras reunir une majorite , jamais l ensemble ...

La sarcelle à cagoule a écrit:

Tu pourras reunir une majorite , jamais l ensemble ...

c'est vrai mais ça semble si difficile à faire

Effectivement , mais c est typiquement francais , on regarde toujours le voisin du mauvais oeil , et on prefere privilegier sa petite personne plutot que l ensemble

Mais réunir la majorité à défaut de l'ensemble ça fait déja beaucoup de monde !A nous de ne rien lacher et si nos dirrigeants ne sont pas assez fermes ,à nous d'en changer !Rien ne justifie les restrictions que LPO et Cie veulent nous imposer, il ne faut rien lacher !

Niko62 à dit :
Les 6 espèces :

Courlis cendré
Barge à queue noire
Barge rousse
Bécasseau maubèche
Chevalier gambette
Eider à duvet

Si ça passe , la chasse en Baie est morte ........

Restera la pie

L’instauration d’un dialogue renouvelé et pérenne entre chasseurs et protecteurs
de la nature, en partenariat avec les agriculteurs, les forestiers et les autres
gestionnaires de l’espace naturel et rural est une initiative du Président de la
République Nicolas SARKOZY qui s’inscrit dans la nouvelle gouvernance mise en
oeuvre à l’occasion du Grenelle de l’Environnement. Le Ministre d’Etat Jean-Louis
BORLOO et la Secrétaire d’Etat Nathalie KOSCUISKO-MORIZET ont chargé
Jérôme BIGNON, député de la Somme, de présider une « table ronde » réunissant les
parties susvisées. Celles-ci ont d’emblée considéré qu’il était prioritaire de se
mobiliser pour enrayer sans délai l’érosion de la biodiversité en associant tous les
utilisateurs et gestionnaires des espaces naturels et en accordant une attention
particulière à la sauvegarde de la nature dite ordinaire qui représente la plus grande
part des territoires ruraux français.
Répondant à la lettre de mission du Ministre d’Etat, les parties se sont réunies
au Conservatoire du Littoral à neuf reprises du 5 Mai au 24 Juillet 2008, avec pour
objectif de parvenir à un accord global associé à un mécanisme d’évaluation :
· pour la gouvernance scientifique partagée des espaces et des espèces fondée
sur une actualisation permanente de la connaissance ;
· pour la mise en oeuvre d’actions partenariales au niveau local, régional et
national ;
2
· permettant de renforcer la conservation et la gestion des espaces naturels face à
l’amplification des menaces liées à l'urbanisation, à l'exploitation intensive des
ressources naturelles et au changement climatique ;
· permettant d’assurer la conservation et la gestion des espèces compatible avec
un usage raisonné de la nature et de ses ressources ;
· pour la conduite d’actions de sensibilisation à l’environnement.
Les parties soussignées ont en outre la volonté de placer leurs accords et les
engagements qui en découleraient, dans le cadre général des stratégies européennes et
françaises sur la biodiversité, des textes nationaux, communautaires et des accords
internationaux et plus spécifiquement :
· de la Convention de Berne ;
· de la Directive « oiseaux » 79/409/CEE ;
· de la Convention de Bonn ;
· de l'initiative pour une chasse responsable lancée par la Commission
Européenne depuis 2001 ;
· des conclusions communes aux Etats membres, à la Commission européenne,
aux représentants des chasseurs et des ONG lors du vingt-cinquième
anniversaire de la directive Oiseaux à Bergen op Zoom le 9 Novembre 2004 ;
· du guide interprétatif sur la chasse en application de la directive 79/409 CEE
du Conseil concernant la conservation des oiseaux sauvages publiée en août
2004 ;
· de l’accord A.E.W.A.
En outre, les parties s’engagent au respect de la Loi.
Les parties soussignées ont convenues que le dialogue renouvelé à l’occasion de la
« table ronde » s’inscrivait dans des principes de considération mutuelle, d’écoute et
de partenariat, privilégiant la médiation au contentieu, le respect de la Loi, affirmé le
cas échéant publiquement, et constituant ainsi le socle d’une relation pérenne.
Pour répondre aux objectifs ci-dessus rappelés les signataires sont convenus des
dispositions qui suivent :
1 - La gouvernance scientifique
La gouvernance scientifique sera à rénover avec la suppression de l’Observatoire de
la faune sauvage et de ses habitats et l’instauration du dispositif suivant :
Un groupe d’experts sur la chasse et les oiseaux (GECO) sera chargé de
l’interprétation des données scientifiques. Le Muséum National d’Histoire Naturelle
sera chargé d'apporter les données du Système d’Information sur la Nature et les
3
Paysages (SINP). Le GECO propose les orientations qui en découlent en matière de
gestion des espèces, des dates de chasse, des plans de gestion et de prélèvements
maximum autorisés. Il peut s'auto-saisir sur toutes les études qu'il estimerait
opportunes. Le cahier des charges du dispositif convenu est annexé au présent accord
et en fait partie intégrante.
Les signataires conviennent en outre de développer un partenariat de nature à mettre
en oeuvre et éventuellement élaborer des indicateurs de biodiversité aux niveaux
national et régional.
Ils développeront les initiatives pour la collecte de données par des équipes
comprenant des chasseurs et des représentants des associations naturalistes.
Ils s’engagent à améliorer de façon décisive la connaissance des prélèvements
cynégétiques. Ces données seront progressivement développées par la combinaison la
plus adaptée selon les espèces et les types de chasse, des modalités suivantes :
· obligations réglementaires existantes ;
· nouveaux dispositifs du type CPU ou autres modalités à définir ;
· dispositifs de sondage déjà mis en oeuvre par la FNC et l'ONCFS ;
· autres modalités.
Les données issues des prélèvements seront mises à disposition du SINP et
contribueront à la démarche Artemis mise en oeuvre à l’échelle communautaire par la
Fédération des Associations de Chasse en Europe (FACE).
Les signataires s’engagent à suivre et à évaluer pour la fin 2010 la progression de ce
dispositif.
2 - La gestion des territoires
Les signataires affirment leur volonté de mettre en oeuvre des actions communes
concernant la gestion des territoires à vocation mixte (cynégétique, productive et
patrimoniale).
Ils souscrivent aux orientations contenues dans les engagements du Grenelle de
l’environnement sur la biodiversité et les mesures proposées pour en arrêter la perte.
C’est ainsi qu’ils s’engagent dans la démarche « Trame bleue, Trame verte » ainsi que
dans toutes les actions de nature à protéger et à restaurer les zones humides.
Dans cet esprit, ils s’engagent à favoriser la mise en place ou à compléter, après
évaluation, un réseau de zones humides non chassées pour les oiseaux le long des
principales voies migratoires, afin de permettre le repos des oiseaux. Un programme
décliné régionalement pour la conservation et la restauration des zones humides sera
élaboré au cours de l’année 2009.
4
Ils s’engagent en outre à travailler en commun et dès cet automne, à un
enrichissement du bilan de santé de la PAC, et à poursuivre cette réflexion par un
travail partagé sur tous les impacts sur la biodiversité de la réforme projetée de la
PAC pour l’échéance 2013.
Les parties s’engagent enfin à travailler de concert afin d’améliorer :
· la coopération européenne sur une vision partagée et harmonisée de la gestion
des territoires naturels de l'Union Européenne ;
· la coopération avec les pays du Nord et du Sud (lieux de reproduction et de
repos hivernal).
3 - La gestion des espèces
Les parties signataires ont convenues pour les oiseaux d’eau et de passage :
- de s’engager de façon résolue dans la gestion de ces espèces en tenant compte
de leur état de conservation ;
- de favoriser dans les meilleures conditions la détermination de dates de
chasse.
3-1 : Pour mettre en oeuvre ces engagements les parties conviennent des actions
suivantes :
- mise en place de plans nationaux de gestion décidés au vu de l'examen de
l'état de conservation par le GECO ;
- déclinaison en France des plans d'action de la Commission Européenne ou de
l'AEWA avec engagement de suivre, après avis du GECO, les moratoires
qu’ils prévoiraient ;
- moratoire sur cinq ans de la chasse des espèces suivantes : Barge à queue
noire, Courlis cendré, Eider à duvet, accompagné d’un plan de gestion
élaboré après avis du GECO ;
- les espèces suivantes : Courlis Courlieu, Barge à queue rousse, Bécasseau
maubèche et Chevalier Gambette, feront l’objet d’un plan de gestion et d’un
suivi par l’ONCFS. Le tout faisant l’objet d’une évaluation annuelle pouvant
induire un moratoire.
3-2 S’agissant des dates de chasse, les parties entendent mettre un terme au conflit
dont la gestion contentieuse est à l’origine de la dégradation de leurs relations.
L’interprétation divergente des concepts généraux de la Directive Oiseaux n’a pas
favorisé le rapprochement des points de vue. A cet égard, et pour y parvenir, les
parties conviennent que :
5
- le guide interprétatif sur la chasse en application de la directive 79/409 du
Conseil est une des références communes.
- pour la durée de l’accord, ils sollicitent le Ministre d’Etat, après consultation
du CNCFS, pour prendre les arrêtés prévoyants :
- pour l’ouverture, les modalités suivantes sont retenues dès 2008 pour les
oiseaux de passage et le gibier d’eau :
o le 1er jour de la 3ème décade d’août sur les territoires mentionnés à
l’article L. 424-6 de l’arrêté du 24 mars 2006, à l’exception des espèces
ouvertes en septembre dans cet arrêté ;
o le 15 septembre pour toutes les espèces ouvertes en septembre dans
l’arrêté du 24 mars 2006, avec poursuite de la concertation ;
o le 1er jour de la 3ème décade d’août dans le département de l’Hérault
pour la Foulque macroule ;
o le 15 octobre pour le Vanneau huppé, partout en France.
- pour la fermeture, les parties conviennent d’en examiner les modalités dans le
cadre de la table ronde, conformément aux principes de cet accord.
4 – Suivi et évaluation
Les parties sont conscientes que le présent accord ne résoudra pas dans l’immédiat
l’ensemble des questions en suspens. Elles conviennent en conséquence :
· de solliciter le Ministre d’Etat et la Secrétaire d’Etat pour la poursuite de la
table ronde, sous la présidence du Député Jérôme BIGNON. Elle se réunira
régulièrement pendant deux ans afin d’approfondir la relation créée dans le
présent accord. Le premier objectif sera de suivre la mise en oeuvre de l'accord
et d’en évaluer les effets. Le deuxième objectif consistera à traiter dans un
calendrier défini les dossiers suivants, sans que cette énumération soit
limitative :
o les « nuisibles » et leur gestion dans le cadre des évolutions envisagée
par le gouvernement sur la martre et la belette ;
o les territoires non chassés et les dégâts de gibier ;
o l’avenir des jachères ;
o les dégâts de gibier en général ;
o les espèces invasives ;
o les plans de restauration d’espèces et leur coexistence avec la chasse
(ours, etc…) ;
o l’utilisation de l’espace et notamment la réflexion sur les zones de
tranquillité autour des habitations ;
o les chasses traditionnelles, etc.
6
· d’examiner les difficultés des lieux où la pratique de la chasse fait l’objet de
polémiques depuis plusieurs années.
La table ronde devra également réfléchir à l’évolution des instances permettant la
permanence de la relation entre les signataires du présent accord.
________________________
En présence des représentants des territoires (Assemblée Permanente des Chambres
d’Agriculture, représentants de la propriété rurale, représentants de la Forêt Privée,
Réserve Naturelles de France, et Conservatoire Régionaux des Espaces Naturels), les
parties s’engagent à mettre en oeuvre l’ensemble des ces dispositions.
Les représentants des Chasseurs
Les représentants des Associations de protection de la nature
Le représentant du Muséum National d’Histoire Naturelle
Le représentant de l’Office Nationale de la Chasse et de la Faune Sauvage
Les représentants de l’Etat
Le président Jérôme BIGNON


C est le document envoyé pour signature ...
L ancge dement par Fil ...

Que de la merde...

de favoriser dans les meilleures conditions la détermination de dates de
chasse.

14 Juillet - 28 Février

- moratoire sur cinq ans de la chasse des espèces suivantes : Barge à queue
noire, Courlis cendré, Eider à duvet, accompagné d’un plan de gestion
élaboré après avis du GECO ;

Perdu à tout jamais

- les espèces suivantes : Courlis Courlieu, Barge à queue rousse, Bécasseau
maubèche et Chevalier Gambette, feront l’objet d’un plan de gestion et d’un
suivi par l’ONCFS. Le tout faisant l’objet d’une évaluation annuelle pouvant
induire un moratoire.

Perdu l'année prochaine

Cela se preciserai ...


Com ANCGE


Chasse des oiseaux d’eau :
un accord insatisfaisant, qui déborde et qui n’apportera pas l’apaisement
Samedi 26 juillet, un accord aux forceps naissait du Grenelle de la chasse présidé par le député J. BIGNON auquel il faut rendre hommage pour sa détermination et sa force de persuasion.
Les dates de l’ouverture de la chasse des oiseaux d’eau en France seront ainsi avancées de 9 petits jours pour les canards de surface et les limicoles. Elles passent du 30 août au 21 août.
Une avancée a minima qu’il faut payer à prix d’or. Canards plongeurs, chipeau et rallidés n’ouvriront pas avant le 15 septembre. Pour le vanneau, le 15 octobre a été retenu.
Pire encore, 3 espèces ne seront plus chassables pendant 5 années : courlis cendré, barge à queue noire et eider à duvet, tandis que martre et belette risquent de ne plus pouvoir être piégées.
La pilule est dure à avaler pour les chasseurs qui se réveillent avec la gueule de bois et une certitude : ce n’est pas avec un tel schéma que l’apaisement pourra être au rendez-vous. D’autant que la manoeuvre de division est grossière et qu’elle risque fort de se retourner contre ceux qui tentent de l’initier.
Vouloir faire payer, très cher, les 9 petits jours accordés aux chasseurs méditerranéens et des zones humides intérieures par les chasseurs du littoral Manche – Mer du Nord – Atlantique en les privant du courlis cendré qui est leur gibier roi, ou par les piégeurs, gestionnaires de territoires de plaine riches en petit gibier (perdrix, lièvres, faisans) en imaginant leur interdire de piéger martre et belette, ce n’est pas faire éclater l’unité du monde de la chasse, c’est, tout au contraire, la renforcer.
Les chasseurs de gibier d’eau méditerranéens et des marais intérieurs, principaux mécontents jusqu’alors, continuent de l’être par ces avancées insuffisantes, par ces restrictions supplémentaires, et sont aujourd’hui rejoints par tous ceux qui, comme eux, en sont victimes.
Loin d’être apaisée avec cette négociation et ces conclusions outrancières, la chasse française voit le front de ses insatisfaits s’élargir et leur motivation se renforcer.
L’ANCGE, Association Nationale des Chasseurs de Gibier d’Eau, saura être leur porte-parole, à tous, et s’engage à faire remonter, sans attendre, chacune des critiques qui seront émises à l’encontre de ce projet réglementaire plus douloureux qu’apaisant.
Elle appelle le Président BIGNON à relancer, sans tarder, le Grenelle de la Chasse et à obtenir, d’urgence, la réunion du groupe d’experts scientifiques chargé de la chasse, de la gestion des oiseaux d’eau et de leur usage durable. Leur avis sur l’interdiction de la chasse d’espèces comme le courlis cendré et la barge à queue noire en France et sur l’impact de telles mesures doit être sollicité prioritairement afin d’éviter de tomber dans le piège des dérives sectaires inutiles et révoltantes. De la même façon, une limitation des prises de vanneaux huppés jusqu’au 15 octobre doit être privilégiée plutôt qu’une interdiction pure et simple. Le dossier martre et belette doit lui aussi être ouvert de toute urgence afin de mesurer, objectivement, les conséquences lourdes sur la biodiversité du cadeau irréfléchi qui risquerait d’être fait aux protectionnistes extrêmes.
Seuls les avis d’experts impartiaux et non partisans permettront d’avancer réellement sur chacun de ces sujets et de redonner au Grenelle de la Chasse le bon sens qu’il est en voie de perdre.

Une question piege les gars,des eiders vous en tuer combien dans une saison?

Ca n a rien a voir avec ca !!!

L'année prochaine c'est le chipeau et la Sarcelle d'été les tables rondes à l'unisson ne donnerons rien d'intéressant si on a pas plus de poids

je pense que le souci c est que l ont est pas assez soudé et les ecolos le savent très bien il faudrait qu un partis de gauche ou droite prennent notre défense ouvertement pour que l ont pèse plus de poids dans la balance..........................ont a cru a sarko avec c est promesse il nous a b..... maintenant a nous de faire attention aux futur promesse

Meme si je suis d accord avec toi amassoire , moderes tes propos , on est pas sur La Hv ici ...
Mais je comprends tellement ta colere