Fdc 13, ça continue...

Vous n'avez pas un lien, qu'on s'amuse aussi

salut


la page n'est plus mise à jour dommage .
pour rire , il faut écouter les 2 vidéos


https://www.facebook.com/fdc13/?fref=ts

Merci JLN

On prend presque les mêmes et on recommence. Quand on discute avec les chasseurs, plus personne n'en veut, mais ils sont élus avec 70% des voix.

http://www.fdc-13.com/accueil/sdgc13/resultats-des-elections-ag-du-fevrier-2016.html

C 'est un feuilleton encore pire et plus long que Dallas votre fédé .

Epilogue:

Au moins vous avez pas le temps de vous ennuyer dans le Sud ...

Ouais, Pagnol est parti trop tôt.

DALLAAAAS ton univers impitoyaaaaaable !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Y peuvent plus chasser Laurel et Hardy.


https://www.facebook.com/CDC13/

Et ça continue.

https://www.facebook.com/fdc13/

Info pas vérifiée pour l'instant.

Un article sur le sujet dans le journal de ce matin. Condé a bien bénéficié d'un CDD comme technicien fédéral adjoint, mais le poste de Rimez comme délégué représentant la FDC à la SAFER a été refusé. Leurs titres de présidents d'honneur, ont été également contestés par le préfet.
Je vais essayer de vous mettre le lien de l'article.

il faut donner l'info au réalisateur de "plus belle la vie", il y a matière à prolonger la série de plusieurs années.

salut

voici l'article paru dans le journal la provence ce jour






bonne lecture suite du feuilleton au prochain numéro

Merci jln.

Nouvel épisode.



Citation :

FDC 13
17 h ·
Tous les administrateurs cautionne ce système fédéral hors-statut, hors éthique ...tous sauf un .
Mr. Allione qui dénonce ce système , il est sûrement le seul qui soit encore soucieux de l'image de la chasse dans le département.

Courrier de Mr allione aux autres administrateurs.

Monsieur l'Administrateur, cher collègue,

La convocation de l'AG de la FDC13 en date du 22 avril 2018 est irrégulière.

​Monsieur Bernard MOLLAR n'est pas président de la FDC13 il ne peut donc
​pas convoquer une assemblée générale.

Le jusqu'au (boutisme) dont vous faites preuve sera une nouvelle fois préjudiciable
​à l'image de la chasse dans notre département. Vous ne tenez aucun compte des
​suggestions que Monsieur Jean-Phillippe d'ISSERNIO directeur de la DDTM nous
​a faite lors de la réunion du 15 mars 2018.

​Vous envoyez une lettre circulaire oblitérée en envoi prioritaire à tous les présidents
​et détenteurs du droit de chasse du département le 16 mars 2018. En rajoutant les
​frais de convocation à tous les adhérents (entre 6500 et 9000€), vous gaspillez
l'argent de la fédération pour une convocation irrégulière. Votre responsabilité est
juridiquement engagée.

Vous prenez également le risque d'exacerber les tensions entre les chasseurs qui
​pourraient déboucher sur de graves troubles à l'ordre public si cette AG avait lieu
​dans ces conditions. Votre responsabilité juridique serait engagée.

​La sagesse serait d'attendre les décisions de justice suite aux assignations
en référé qui seront à l'audience du tribunal de grande instance d'Aix en Provence
le 20 mars 2018.

Je vous renvoie à l'article 11 de nos statuts qui donnent la date butoir pour tenir
​une assemblée générale. Cette date étant le 31 mai, en tenant compte du délai
​de un mois pour la convocation, nous avons jusqu'au 30 avril.

Cordialement
​Alexis ALLIONE

salut


on est reparti pour une saison , la suite du feuilleton .............

C 'est Dallas dans le 13 !

Et c'est reparti !

Aix-en-Provence

L’administration judiciaire achevée, des convocations en série de salariés se soldent par cinq arrêts dont un malaise cardiaque. L’ex-directeur Jo Condé est de retour.
Il aura fallu 5 ans à la justice pour organiser des élections à peu près encadrées à la Fédération départementale de chasse. Soit autant de temps passé sous la tutelle d’administrateurs judiciaires qui se sont succédé pour faire le ménage dans une institution gangrenée par de mauvaises habitudes de gestion, héritées de précédentes gouvernances. Il s’agissait notamment de se libérer de l’emprise de l’ancien président, Jo Condé, plusieurs fois condamné, et de ses hommes-lige. Il aura fallu quelques secondes à Daniel Keller, interrogé ce printemps en tant que tête de liste en lice, sur le recrutement éventuel de Jo Condé, pour répondre : "Peut-être, peut-être pas, moi je prends toutes les compétences, le conseil d’administration gérera".

Il a géré : le passage de relais entre l’ancien administrateur et l’équipe Keller sortie des urnes s’est nouée fin juin. Le conseil d’administration s’est réuni le 3 juillet. Il a choisi, pour remplacer l’ancien directeur démissionnaire, Jo Condé. Depuis, le nouveau président ne répond plus au téléphone. Au Château de Maliverny, siège de la fédération 13, on nous assure qu’il n’est pas là pour nous accueillir. Seul Gilles Donatini, adjoint au maire d’Aix - délégué au village des Milles -, membre de la liste, vice-président du conseil d’administration, répond. Lui ne sait pas s’il y a eu d’autres candidats, "je n’ai pas posé la question, j’ai laissé faire Keller", et oui, parmi les 15 administrateurs, il a voté "comme tout le monde". Unanimité, donc pour Condé. Et de marteler les vertus de la rédemption : "Sans doute qu’il est conforme au poste. Il a fait des bêtises avant, comme tout le monde, ça peut arriver à n’importe qui, regardez en politique. Mais on n’est pas condamné à vie ! Il a des compétences en gestion cynégétique".

Pour ce qui est des compétences humaines, avant même l’arrivée du nouveau directeur, le président Keller s’est illustré. Depuis lundi, un salarié est en soins intensifs pour malaise cardiaque qu’il attribue à la tension sur site. Cinq salariés sur 13 sont en accident de travail : ceux-là même que la justice avait reconnu victimes de harcèlement moral, à la suite de l’affaire du héron cendré qui avait valu à Jo Condé sa condamnation pour subornation de témoins. Quasiment tous avaient fait appel à la justice en 2018 pour se mettre sous sa protection. Dans le lot, plusieurs personnes ont fait l’objet de menaces, notamment de mort ; quatre plaintes ont été déposées ; des procédures sont encore pendantes.

→ A lire aussi : Chasse : "Pour en finir avec la fédération du copinage" dans les Bouches-du-Rhône
Véhicules de fonction supprimés, horaires de travail modifiés
Dès le lendemain de l’arrivée de l’équipe Keller, ces salariés ont été appelés dans son bureau pour se retrouver face à un véritable "tribunal" composé de cinq à huit personnes dont un huissier et un avocat. "A chacun sont posées des questions tentant de prouver son implication dans des informations communiquées à la justice ou à la Cour des comptes, ou visant à déstabiliser l’ancien administrateur". La serrure du local syndical est fracturée, les véhicules de fonction supprimés, les horaires sacrément modifiés en dépit du cadre légal. On reçoit des avertissements pour avoir décliné un premier entretien par peur. L’un est mis à pied et licencié pour une faute dont il n’a pas la moindre idée.

"Être face à Condé après tout ce qui s’est passé autrefois, c’est le pire scénario, résume ce salarié. Cet homme est fiché au Finiada (Fichier national des personnes interdites d’acquisition et de détention d’armes) -une mesure préfectorale, Ndlr-, et il a les clefs de l’armoire où sont rangés 30 fusils !"

Préfecture et DDTM (Direction départementale des territoires et de la mer) - que la Cour des comptes avait sévèrement pointées pour leur inertie -, inspection du Travail, Médecine du travail ont été alertées.

Et comme au château de Maliverny, l’imagination tutoie le génie, un poste de chargé de mission a été confié à un ancien président des chasseurs de Haute-Saône, David Lombardot, au pedigree poétique. Il a été condamné en 2016 à un an de prison ferme - transformé en sursis en appel -, pour destruction d’espèces protégées. Il avait même imaginé un incinérateur pour brûler les cadavres et voulait contribuer avec ses petits camarades à développer le petit gibier en s’attaquant à leurs prédateurs : chats sauvages et autre blaireaux. Pour Jo Condé, la spécialité, c’était le héron cendré. Ça rapproche.

qué bordel !!!!!

Ouais, on est repartis pour un tour. Et en plus l'affaire du charnier, à Aurons, comme par hasard...